Night riders

Allez pour clore cette douce nuitee je m'en vais vous conter l'origine des megalithes que l'on nomme communement Dolmen, Menhir et autres tumulus.
A l'aube de l'humanite, le bipede humain ayant evolue mais n'ayant point encore invente les conges payes, le casino et le bol d'or, force lui etait de s'adonner a des plaisirs plus elementaire s comme la chasse au mamouth, a l'auroch, au dahu ou encore bien a la cueillette de baies et de petits champignons qui font rigoler... tout juste si les premiers audacieux tentaient l'assemblage hazardeux et heteroclite de 2 roues de pierre, d'un cadre en bois et d'une selle en peau de tigre a dent de sabre, dernier element qui constituait les premices du Tuning, le casque a corne d'auroch representant le summum de la mode a cette epoque austere...
Laissons votre imagination contempler cette foule oh combien entousiaste a l'idee d'assister a cet evenement majeur qui avait lieu a chaques solstices et a l'origine de bien des festoiements actuels... imaginez la foule sortant des cavernes, traversant en longue procession les plaines. Les elegantes emmitouflees dans de superbes fourrures, parees de leur plus beaux colliers en dents de tigre, de chatoyantes plumes ornant leurs long cheveux laques de glaise, les hommes arborant leurs cuirs de Zebu aux couleurs de leur clan, casque a tete de loutre pour les uns, crane de crocodile pour les autres, crane d'oeuf pour les moins evolues...
Tel etait le spectacle de ces grandes migrations pour assister au combat des dieux ! Foudre, eclairs et bruits de tonerre... la terre allait trembler...
Vous avez, je le pense, souvenance de cette saga a l'origine de l'arrivee des NightRiders, ou bien encore de celle de la naissance de l'humanite actuelle... si fait ! Le probleme majeur etait qu'en l'absence de tout balisage et de toute protection, chaque course de propulseur NightRiders mettait en danger l'existence de cette planette et des etres que nous avions malencontreusement crees mais que nous nous devions de sauvegarder tout de meme, ceux ci n'ayant point la resistante constitution de leurs createurs...
Ce fut Messire du Faou qui eu la prime idee en allant un beau jour s'ecraser avec son propulseur HD contre une falaise apres avoir traverse en glissade un champ de paille qui brulat entierement et une foret de pin qui fut reduite a l'etat de mince batonnet strie de brulures ( un autochtone s'en empara pour se distraire et ainsi naquit le mikado) Messire du Faou constatant que seule la pierre peut rallentir un propulseur HD en perdition en retint l'idee. Et ainsi de part et d'autre du circuit on disposa de longues, hautes et fortes pierres car les bottes ni les champs de paille ne stoppe la course des propulseurs... Messire Mad faucha un jour 28753 spectateurs males et femelles en une tonte bien reglee.... le virage le plus dangereux et le mieux protege estait en ce lieux que l'on nomme Carnac je crois....
Quand a Messires Nuch et Denis, las de recevoir des pieces detachees de HD faouetisante et Skullantes sur la tete, ils eurent l'idee de concevoir ces abris resistants et enterres afin de bricoler leurs propulseurs ( bilateral 2x10000 megatonnes pour Messire Denis et quadrilineaire a 12 megatonnes de pour messire Nuch ) ils nommerent ces abris Sites de Tranquilite Atomique pour Nettoyage Delicat (S.T.A.N.D) et ce devint pour eux une habitude que l'arret au Stand... non le nom actuel vient de la deformation des cris qu'ils poussaient a l'encontre de nos deux briseurs de HD, rejoint par ailleur par Messire Bill et son Propulseur a Bipolarite Ultimate a Electron Lazer Libre... " TU M' LES BRISES !!!" Criait Messire Nuch alors qu'il venait de recevoir sur la tete un morceau du module de commande de 7 tonnes ... Ce qui interprete par un autochtone un peu dur des esgourdes a donne " TUMLUS" puis TUMULUS... les DOLMEN etant donc des restes de Stand n'ayant point eu grande resistance contre un impact direct d'un Propulseur Thomiesque ou Twitchionnien... on s'en servait ensuite comme support publicitaire pour vanter les merites de tel ou tel Chaman, ou du constructeur de Cavernes et de communication par Tamtam BOUYGUOURHT...
Mais noble compagnon... n'esbruiter point ce secret, car il nous plait que de sots erudits y cherchent de savantes, mysterieuses ou romantiques origines...

Si fait. Il est l'hor de fermoyer l'huis de notre forteresse et d'en lever le pont. La bonne nuitee mes vaillants compagnons... ah Messires Thom et Twitch n'oubliez point le bois et la Cervoise pour demain...

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.

Les batailles, biens sûr, comment oublier la première batailles menées en ces terres.

Il fut un temps aou naous devions batailler, fraîchement arrivés en ces terres. Les démons parcaouraient librement les contrées semant nombres ravages. Souvenons naous amis que le château que naous avons paour demeure était autrefois aussi sombre que les ténèbres. Je suis installé dans ce qui fut le trône du démon qui gaouvernait en ces lieux, je l'ai gardé précieusement après avoir tué ce démon.

La nuit durant laquelle naous avions combattu était un vrai bonheur. Un temps celtique par excellence, forte pluie et grand vent. Paour le caoup, on avait prévu d'envoyer des ballons gonflable gonflée en explosif mais quand Sir Beufa à fait exploser la réservé de flèche on a laissé tombé. Paour le caoup, dans les chaos du champs de bataille, juste avant les combats, on s'est bien marré. Voir un Nigth Rider prendre une bonne tarte, ca fait taoujaours rire, mais du caoup on avait plus de flèche.... Heureusement que nos maîtres mécanos avaient prévu les catapulte. Alors on avait pris les armes laourdes et comme on voyage léger on avait pas pris les baoulets. On a demandé une petite heure d'échauffement à la bande de démon dans le château, c'était surtaout histoire de traouver de quoi charger les catapultes. Au baout de trente minutes, les démons en avaient plein le cornet d'attendre alors ils ont aouvert les hostilitées. Le Joker, Dom, Mick et Thom avaient quand même réussi à mettre la main sur des sangliers, des lapins et une aou deux grosses saouche. Le siège était bien parti, on tenait bien notre position, une trentaine de Nigth Rider au combat, les autres à veiller la réserve de bière. Je reviens de la pose bière, on avait fini de jeter les lapins du caoup on a pris les saouche d'arbres. Bon y'a bien un aou deux dans les Riders qui font de la magie, mais c'est pas pratique, par exemple, moi Sir Le Faou après avoir posé un sceau maudit sur ma victime, il faut que je m'inflige des blessures et compagnie paour que par répercutions avec la malédiction l'autre, c'est chiant, mais en tant que Rider-immortel c'est pratique. Donc à plusieurs La Pomme, Fanchlebon, Nuch et YoN envoyèrent plusieurs sortilèges sur le fort démoniaque, Dame Kermitte ordonnait les ordres aux catapultes, et là ce fut le désastre....
Nom d'une Dame Blanche, on savait que l'on paouvait remporter cette bataille sans trop forcer et rapidement si on y mettait du notre, mais cela faisait longtemps qu'on avait prévu de faire une baoustifaille entre naous, alors on s'est dit : tranquille compagnons, il n'y point d'empressement à avoir.
Le problème est que lorsque naous prenons nos aises, naous sommes moins concentrés.
Sur une des catapultes, la triplette Ciber, MaD et Maxaou taournaient à plein régime en terme de levé de caoude, Lasaouche pas frais trainait dans le coins. Kermitte ordonna, « CHARGER SAOUCHE », « TIREZ », des ordres néant de complication. Mais il ne fallait pas compter sur cette triplette de MaD, Ciber et Maxaou et qui eux venaient de charger Lasaouche, non pas en bière, mais dans la catapulte et l'envoyèrent au-delà des remparts ennemis. Nom d'un Nain, le cri de Lasaouche fut terrible, une vraie demoiselle...mais Damned, Gast ar c'hast, ce qui devait être une baoustifaille était désormais un sauvetage, il fallait sauver le soldat Saouche !!

Très organisé, on a foncé dans le tas, puis on est revenu au camps, on avait omis de prendre le bélier paour enfoncer la porte. On a tapé comme des marteaux sur la porte d'entrée, elle ne vaoulait pas cédez la baougre. Armée comme un faou avec épée, dague, un sac à dos baourré d'explosif et une allumette, j'attendais avec impatience. Avec Zabimaru, en tant que incendiaire professionnel, je devais entrée poser le sac, taout faire péter et sortir. Bon, j'attendais adossé contre le mur et là « ding », une petite sonnette d'entrée, un lutin aouvre une taoute petite fenêtre et demande ainsi taout hautain : Que puis-je ?, Zabimaru et moi répondons : Rien, on attends que la porte soit défoncée paour entrer. Le lutin naous arrêta de suite : Baougez pas, j'aouvre.
Le lutin naous a sympathiquement aouvert les portes, ça tombait bien, le bélier, on traouvait ça ringard...On est entre, on a faoutu la pagaille. Quelques baoules de feu, un aou deux caoup de faoudre, et un iceberg au milieu de la caour plus tard, on avait retraouvé Lasaouche. Je prend mon sac et va paour taout faire sauter, j'arrive dans la salle du trône. Je pose le sac je sors les explosifs et je prend mon allumette. Je m'apprêtais à allumer les copines quand le démon que l'on cherchait est arriver paour se battre. Je l'ai inviter à s'asseoir en lui disant que je faisait péter le château et naous autres allions partir et que le combat était inutile. Il me regarda et me tint discaour
_ Ah bon ? Paourquoi ? Vaous vaoulez pas vaous battre contre moi ?
Je lui répondit
_ Par la barbe du Cornick, ca va être long...
_Comment ?
Je lui explique taout lui montrant
_Oui, paour vaous battre je dois posez un sceau maudit sur vaous,
_ Très bien et ensuite ?
_Ensuite je dois me blesser avec mon épée et les effets se répercute sur vaous seigneur démon.
_Comment ?
_ C'est la malédiction, je prends mon épée et hop...
_Montrez ?
Bon je lui fait une démonstration, je lui pose le sceau maudit sur son bras, et hop, je me transperce le ventre avec mon épée et...............bah il était maourrut.....

Bon ce contre-temps fâcheux réglé, je m'attèle à mes explosifs, taout était prêt j'allume la mèche caourte et c'est parti. Le château explose, je sors avec l'explosion et je retraouve les compagnons. Le démon mort et le fort brisé, comme on savait pas encore bien aoù prendre demeure, on a regarder le château en feu.....on s'est dit c'est dommage, il était chaouette le château, on garde.

Moi j'ai juste gardé le trône du démon sur lequel je me plaît à m'asseoir en buvant lambig et chaouchen.

J'ai fort bonne souvenance de cette bataille... Ah Messire du Faou ! Vous nous enchantez par vos recits ! Quel grande hilarite que ce jour... ma panse s'en tord a chaque fois. Nous avions avec grand desapointement cherche en Vain Messire lasouche... Messires Nuch et Denis qui s'epanchaient leur trop plein de cervoise dans la fosse d'aisance ont bien failli le pourfendre a grands coups de Hache en le prenant pour un demon, surgissant souille et crotte des chausses au chef ! Trois lunaisons plus tard on pouvait le sentir arriver a 7 lieux...
Que de bons moments !

En pourchassant ma proie depuis 3 lunes, je me retrouve à quelques lieux de la forteresse. La lune illumine chaques pierres, chaques détails qui la constitue.

J'en profite donc pour m'abreuver,déchausser mes bottes, saluer mes compagnons et également et pas le moindre solutionner une potion pour dompter le mal qui me possède. Il y a 4 jours de ça, je me suis retrouvée malgrés moi sur un site spirituel. C'est alors que le mal s'empara de moi part mes gardes. Dès lors, c'est une lutte sans merci qui se livre en moi, et je ne sais m'en défaire. Mes compagnons des moultes heures perdues m'éclaireront-ils ? En ce domaine, exerce-t-il un druide, enchanteur ou encore mage pour me soumettre un élixir ?

En outre, je vois que de jeunes disciples au regard furtif nous ont rejoind. Ils seront bien accueillis et en lieux sûr aussi. Cela promet de nouvelles aventures trépidentes. Je ne suis pas cependant assez sûr de moi et des mes instints pour résister sereinement à l'odeur de leures hématies troublantes. Je repartirais donc à l"aube.

En espérant vous voir très promptement à la taverne ou ailleurs. Gloire et fortune à tous.

Si fait dame Lulu. Il n'y a point plus grande magie que celle des druides des Thuatas. J'y fus initie des mon age le plus tendre. A tout sortilege il convient d'opposer la force. Il faut reunir un bon nombre de chevaliers NightRiders et laisser s'operer la symbiose. Une bonne chevauchee et deux ou trois batailles rondement menees et le mal disparaitra. Nous sommes a vos cote dame Lulu et soyez assuree de notre soutien ! Il est grand temps que je referme le chateau... les Poulpicans rodent deja !

Bien le bonsoir mes chers amis de la nuit tombée.


Voici bien des lunes que je ne suis pas revenue au château. Pardonnez mon absence et mon si long silence.
Ces dernières lunes, la route m'a menée à bien des endroits. Après m'être tant bien que mal extirpée de la taverne qui m'exploitent, je me sentait de belle humeur à fêter notre beau printemps. Me voici donc à la recherche de quelconque troll ou farfadets prêts à me faire oublier tous mes chagrins. C'est au détour d'un sentier que Messire Mad et Sieur de Ciber, ces deux charmants hurluberlus m'invitèrent à une charmante noyade dans un alcool dont seuls ces deux-là ont le secret. Il serait bien fougueux et irréfléchi d'en vouloir connaître la recette. Quoiqu'il en soit, leurs potions est d'une rude efficacité tel un bon médicament. Arrivée au bout de notre épopée imaginaire, je ne suis parvenue à retrouver mon chemin menant au chateau. Par chance, Messire Faou venait de cramer une auberge non loin de là. Le fumet de vermine carbonisée et surtout le brasier d'une ampleur indescriptible m'a guidée jusqu'à lui qui après s'être bien défoulé se trouvait dans un bel élan de générosité et m'a ramenée au chateau avec son destrier fraichement récupérée.
Me voici donc dans le salon principal seule avec ma peine. La vinasse ingérée m'a trahie et le sommeil me gagne...


Que l'obscurité nous rendent tels que réellement nous sommes...

Nobles Compagnons, Gentes Dames, prenez donc place a notre tablee et laissez moi vous conter la verite sur quelques legendes erronees.
En quete de lecture dans l'exceptionnelle bibliotheque de notre forteresse, voila que je tombe sur un fort vieil ouvrage parchemine et enlumine traitant de la Queste du Graal du Roi Arthur et des chevaliers de la table ronde ! En regardant de plus pres c'etait non point un ouvrage mais plusieurs centaines abordant et relatant les memes incongruites sur ce theme.
Tout d'abord, il est a preciser que le Roi Arthur n'a point eu d'existance reel ! Que nenni ! Tout ceci n'est qu'affabulation... au meme titre que le monstre du Loch ness et la baisse des impots ! ( par contre pour le pere Noel il y a une explication ...)
Tout d'abord force m'est faite de vous eclaircir sur certains points. Tout ceci se deroulait en notre demeure c'etait un 6 janvier. A l'espoque l'humain etait de nature belliqueuse... toujours a guerroyer par monts et par vaux. Alors forcement une demeure telle que la notre attirait les convoitises de nombre de roitelets, princes et aventuriers de tout poil... donc ce 6 janvier, au lever du jour, nous fumes surpris de trouver au pied de notre forteresse une vingtaine de rois presomptueux et leurs troupes respectives... a l'epoque, fort rare etaient les distractions. Ce fut donc avec grande liesse que nous accueillimes ces divertissants importuns. Ce qui laissaient dubitatifs ces conquerants qui s'attendaient a une panique generale de leurs victimes... helas, cent fois helas les voyons t'on soupirer,,, de futures victimes il n'y avait point et les proies ne baissaient point culotte pour se soumettre... enfin presque, ca la seule culotte qu'ils virent baissee fut celle de Messire Joker qui, l'esprit encore embrume des ses orgies et exces en tout genre de la nuitee passee, s'en fut jusqu'a la tente d'un de ces rois, passant cul nu, la clope au bec et une cruche de liqueur a la main, pour s'y soulager d'un trop plein gastrique, la prenant pour les vespasiennes d'un camping municipal ! On vit se tordre le pauvre roi, mortellement intoxique, pendant des heures, ses troupes preferant prendre la fuite pour echapper a ce cloaque pestilentiel ! Ce fut grande hilarite chez nos compagnons !! Et Messire Joker de retourner s'affaler dans l'abreuvoir, qu'il s'obstinait a nommer Jaccuzi ...??...
Messire du Faou, l'esprit toujours joueur proposa alors une ludique activite. Disposant 10 arbalestrieres sur les remparts il proposa de tirer les rois ! L'idee fut d'emblee acceptee et devint meme coutume. Tous les 6 janvier nous tirerions desormais les rois. Mais avant de Lancer nos carreaux et fleches, il nous fallut rappeler Messires Mad et Ciber qui encore fins saouls n'avait point compris la chose ainsi... et de roi certains devinrent reines ! Ils purent ainsi de ce fait les tirer deux fois ! Messires Denis, Nuch, Ghost, Yon et Fanch'nster, Lalasrad et Lasouche avaient quant a eux decide de s'offrir une partie de bowling, avec les propulseurs en guise de boules et les troupes restantes, en pleine debandade, pour quilles. Messires Fanch et Yon se disputait l'honneur de pouvoir faire le meilleur score... messire YoN annoncait un strike sur une belle garnisons de fantassins chamares et Messire Lasouche se targait de pouvoir realiser un Strike americain par les deux bandes sur un corps de cavalerie fuyant ventre a terre. "T'et'es ppas hips cap ! T'estes trop pire bourre qu'moi ! " bredouillait messire Yon, vomissant la derniere bouteille de Chuchen ingurgitee. " Cest skon vvvvavvvoire ! Kkkkon m'app.. m'applel m'alepl merd jschu bourre.. qu'on appelle Arthuur ssssi j'rate mon coup ! " repondit messire Fanch enfourchant son destrier a l'envers sous le regard desaprobateur de Dame Elise...
Forcement, les cavaliers purent continuer a s'enfuir et Messire Lasouche descendant de son propulseur plante dans le donjon central se fit appostropher de la sorte par Dame Elise " eh Artur ! Maintenant que tu as fini de faire le c..T'iras me n'ettoyer les fosses d'aisances que tu as ruinees de tes vomissures !! Qu'on peut meme plus s'asseoir ! " et aux autres NightRiders qui s'esclaffaient devant ce tableau, qui s'etaient remis a table, deja affales , le nez dans leur verre..." Et puis vous les Chevaliers ! Oui oui les Chevaliers ronds, a table... vous pouvez lui donner un coup de main au lieu de rester a graler et rigoler comme des abrutis !" D'ou la naissance d'un mythe totalement errone et persistant... Arthur et ses chevaliers de la table, ronds, qui gralent..mais la verite ne faisait pas tres serieux dans les livres d'histoire... C'est toujours comme ca ! Il faut toujours que l'humain cache et travestisse l'histoire ! C'est la verite ! J'en veux pour preuve qu'on represente le graal sous forme de coupe ! Et non sous sa forme originelle d'une choppe de Cervoise !

Mortecouille est-ce là la vérité Messire Kenavo??Je ne pensais point à une telle fourberie! En qui devons nous croire alors? Messire Kenavo nous nous devons de vous remercier pour la manière que vous avez de nous éclairer!!

Aaaah messire Faou qu'elle rude bataille vous nous conter là. Navré de ne pas vous avoir accompagner mais la chasse fut terrible. Et, fatigué de celle-ci, à notre arrivé mes compagnons et moi-même n'avions qu'une envie : boire à notre santé et à notre courage. Je vous raconte.

Aux demande de Messire Faou, nous partîmes en quête de vivre et de bois pour notre feu. Nous partîmes à quatre : Moi, Le Jock, Mick et Dom. Notre but était de trouver de quoi rassasier la companie et biensûr impressionner la galerie car tout le monde sait que n'est pas chasseur qui le veut. Dans ma tête je cherchais quel animal pouvions-nous capturer. Je demandas à mes compagnons :

-hé!,fis-je d'une voix forte. Avez-vous une idée de quoi chasser chevaliers!

Le jock répondit d'une voix fluette : des lapins!

-Trop petit pour notre garnison, répondis-je.

- Des oiseaux!! , fit Dom.

Je me posa alors deux questions. Est-ce que Dom avait déjà vu un oiseau ou n'a t'il pas entendu ma réponse au Joke. Il est vrai que certains oiseaux sont plus grand que les lapins, mais dans cette forêt je ne pense pas que l'on puisse trouver de telles créatures. Je fis mine de rien avoir entendu. Et soudain :

- Des sangliers!! Hurla Mick. Je compris que l'homme avait faim et qu'il commençait à s'impatienter de ne pas chasser!

- Très bien Mick!! Chevaliers!! Sus aux sangliers!!

Et nous partîme en quête de nos futures victuailles.

Nous nous élançâme dans la forêt avec l'âme chasseuse, le regard affûté et surtout le ventre vide! Que la chasse commence! Nous avançâmes avec discrétion, et scrutons devans nous le moindre mouvement de dame nature. La forêt est dense et sombre, il n'est pas facile de distinguer les formes dans une telle situation. Nous continuons d'avancer dans la pénombre. Là un bruit! Une branche vient de craquer!! Je me retourne!! Personne ne bouge.. Comme dans le jeu 1,2,3 soleil!! Je fixe un à un mes compagnons.. Puis leurs pieds.. Ce n'est que Dom qui à marché sur une vieilles branche.

- Faites attention où vous marchez. Il sagit d'être discret.

Nous avancons toujours.. Point de gibier en vue.. Mais.. snif..snif.. une odeur.. celle-ci est putride.. Elle semble être celle d'un sanglier!!

- Sentez mes amis!! Nous approchons du but..

Tous se mit à rire sauf le Joke qui vexé et gêné me rétorque : Ha non!! Ca c'est moi et l'odeur de mon c.. quand il rote!!

Quelle horreur.. Fort déçu de cette constatation nous nous relançâme dans la chasse.

Ca fait des heures que nous marchons et nous ne trouvons rien.. Mick Grogne, Dom se ballade, Joke pète et moi je marche. Stop, il suffit, arrêtons-nous nous reposer.

- Fesons une pose compagnons!! Asseyons nous deux minutes!!

Mick : De la merde moi je veux rentrer!!

- Allons chevalier un peu de patience..

Enervé par ma réponse Mick se mit à crier : MAIS BORDEL TETE DE CON TU VOIS PAS QUYA PAS UN OISEAUX DANS TA FORET DE PEQUENO.

Le cris pris de l'écho et sous nos yeux écarquillés nous voyons la forêt s'animer! Effrayer par le cris de Mick on vu courrir lapins et sangliers le temps d'une seconde.. Nous nous regardâmes d'un air complice le sourire dans le coin de la bouche.. Je crois qu'on s'est compris.

- YYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGRRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGGGGGHHHHHHHLLLLLLLL!!!!
- OUUUUUUUUAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!
- GRRRRRRROOOOOOOOOOAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRR!!!!

Nous courrons dans la forêt en hurlant toute notre impatience et ce qui devait de se produire se produisit la fôret se mit à bouger dans moulte sens!! Lapin, sangliers, oiseaux nous pourfendons de tout!! Epé à la main je tranche la tête des sangliers, et pourfend les lapins en deux, Joke et Dom joue au rugby avec et Mick les assome à la main et les mange crus. Sacré Mick!

Qu'elle vengeance nous prenons là, après toutes ses heures passée à attendre dans l'obscurité et à avancer en silence il nous suffisait de faire l'inverse pour ramener victuailles à la garnison!! Qu'elle ironie n'est-il pas!

Une fois notre vengeance étanchée, nous laissons la nervosité redescendre et laissons place aux calme. Nous reprenons route vers le campement avec maintes et maintes provisions. Les amis vont être contents! Nous voilà en possesions de 8 sangliers et 20 lapins. KAWABUNGAAAAA!! Notre cris de guerre retentis à travers la forêt! Une belle victoire que voilà!

Sur la route nous ramassons quelques fagots de bois pour garnir notre feu. Et voilà nous y sommes! Tiens il n'y a personne! Et bien nous allons les attendre cervoises en main et chant de guerriers en voix!

Les cervoises sont prêtes et le gibier est cuit! Nous vous attendons Messires. Prenez place autour de ce feu et déguster vos mets!

Et maintenant chantons!!

Minuit vient de sonner, la nuit des Nightriders est entammée. Prenez place à cette tablée et à votre tour, contez.

Fort belle chasse Messire Mick. Mais laissez moi vous conter la veritable histoire de la ville d'ys. Celle qui fut engloutie par les Eaux...
Il y a de cela fort longtemps, en ces temps ou les Celtes courraient sur toute l'Europe de la Bretonnie au Rhin et meme au dela... Nous avions pour habitude de frequenter cette belle cite d'ys. La ville fortifiee avait ete construite sur des terres gagnes sur l'ocean, protegee par de fortes digues concues pour resister tant a l'assault incessant de la mer qu'au vieilissement.
C'etait la une place fort prospere frequentee tant par les Nord-Manns que par les Pheniciens pour le commerce des epices, de l'encens, de l'etain, et des pierres precieuses. A sa tete etait un roi, Gradlon Meur , ce roi avait une Fille, la belle Dahud au cheveux aussi sombres et brilland que le plumage du Bran.
Messire du Faou s'etait pris de sentiment pour cette creature humaine et chaque septaine nous obligeait a venir festoyer et vider force cervoise dans l'espoir de voir sa belle. A moultes reprises nous avions tente de lui rendre raison car la nature des NightRiders etait peu compatible avec celle des humains et pour ne point dire de nos caracteres.
A force donc de perseverance Messire du Faou entretenait liaison depuis plusieurs lune, tandis que l'attendant, nous vidions force barrique de Cervoire, liqueur de malt du royaume d'Erin que l'on nomme Vouisqui et autre distillation d'outre Rhin qu'on appelle Chenapse... Nos propulseurs etaient cache dans une des Cryptes secretes sous le palais car nul doute que le roi n'eut point apprecier voir sa gourgandine de fille frayer et copuler avec un NightRider... C'eut ete trop demander a la raison humaine ! Pourtant ce qui devait arriver arriva ! Je crois bien que les hurlements du pere de la jouvencelle se firent entendre jusqu'aux rivages d'Avallon. La Garde avisee ( enfin, pas de tout les details quand meme car Messire du Faou experimentait les positions d' un parchemin que l'on nomme Came a soute ras ). Nous en etions a experimente les breuvages d'une ile qui salue le soleil a son lever... du Sa-Ke... et ca, ca casse !
quand la porte de la taverne s'ouvrit avec fracas, escrabouillant un marin viking de 120kg qui allait sortir... Messire du Faou sur le seuil un garde royal esbigne sous chaque bras, la hache degoulinante de sang qui se mit a hurler " Barrez Vaous, c'est grille !!! Le Vieux me caourre apres !... Taous aux propulseurs, on s'arrache !". Ni une ni deux on reveille le sieur Joker affale la tete dans un tonneau, un seau d'eau a Messire Mad et Ciber qui, saoul comme des gorets faisait la cour a une poutre de cheminee la prenant pour une beaute Nubienne alors que Messire Maxou embrassait avec fougue une tete de Thon empaillee, Messire Yon et LaSouche vomissent une derniere fois sur Messire Fanchn'ster tanquis que Messires Nuch, Denis, Skull et Bill ramassent Dames Lili, LuLu, Lolo et Lala ( non y a pas de Dame Lala mais Messire Lalasrad ... enfin ! Suivez un peu quoi !) qui trainaient echoues sous les tables...
Et Tous a la Crypte... bon, chemin faisant nous dumes estourbir deux ou trois compagnies de Gardes ! Enfin parvenus aux propulseurs et les sequences de lancement engagees, ce fut la que tout tourna a la Catastrophe... Les propulseurs a haute densite de Messires Faou et Skull et Bill demarrant en meme temps fissurerent le sol et le Palais Royal s'ecroula,,, Fou de colere le Roi fit fermer toutes les portes de la ville et incapable de s'orienter, le cerveau gorge de vinasse les Prpulseurs NightRiders se disperserent dans un chaos apocalyptique... le propulsueur flat de Messire Denis par sa largeur eventrait les habitations sur toutes les longueurs de rues... Ceux de Messires Nuch, Yon et Lasouche raserent les murailles ensevelissant le reste de la ville sous des monceaux de gravats, Messire Mad eventra de part en part le donjon principal,, Messire Maxou sa tete de thon sous le bras ne pouvant diriger correctement son propulseur eventra la Digue... Le reste des NightRiders trouvant la le moyen de se rafraichir les sens, s'engoufrerent dans la breche, l'elargissant un peu plus .. et de la Ville d'ys ne subsistait qu'un tourbillon d'eau boueuse, deux futs de cervoise vides, un calecon royal et une tete de thon empaillee qui flottaient a la surface. Nous nous ecroulames sur le Rivage, Joker reclamant a boire, Faou pleurant le fait qu'il n'avait point le temps de " Faoutre le feu a la taverne", maxou criant vers les flots tumultueux ,la tete de thon s'enfoncant ..." cherie, Hips, je reviendrai !" , Mad : "heu personne n'aurait de l'aspirine ? ", Nuch et Denis : " ttttu vois k'le bi il est pluplu costaud klekle sussekiki. ! "
Depuis ces temps de desolation nous essayons d'eviter de trop frequenter les humains...

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds,
nul ne sait aoù elle peut naous mener.Vaous ai-je mentionné la mésaventure qui m'est arrivé à cause de la Lutine Caaouette? Aya, ce fut une mésaventure qui n'a durée qu'une nuitée, une nuitée qui à
réveillé la campagne des lieues à la ronde. Je venais de rentrer d'une agréable soirée, douce et
généreuse en animation. Alors que je posais les clés de mon Harley-Destructzion, je m'étala de mon long sur ma
caouche. Le sommeil m'envahissait lentement paour me dérober à ce monde paour celui des rêves et des cauchemars. A cet
instant, j'entendis le grincement léger des gonds de ma porte de chambre. Au creux de ma main, je fit naître violemment une
baoule de feu paour voir l'intrus qui osa violer mon sanctuaire, je vis la lutine Caaouette!!
Ses yeux sombres, ses cheveux longs et noirs, ses petites mains faouillant mes affaires. Quand je la vis me
faire les baourses et piquer mon chaouchen, ma rage explosa. La baoule de feu s'écrasa contre le mur, la lutine vif avait déjà
fuit. Quand je regarda les dégâts, il manquait un mur, qui donnait sur la chambre de Sir Beaufa. Trop ivre paour se
réveiller, sa caouche était brisé, certaine planche logé dans le plafonf, il dormait taoujaours fermement
accroché à son oreiller susurrant des mots daoux : kronenbaourg, henviedeken, haougardtoiben. Bref, je prend les clés
du Harley-Destructzion, les lunettes paour les virées nocturnes, direction le garage. D'habitude j'essaye d'être
discret, mais sans hésitation j'allume la pétoire plein gaz au milieu de la caours, en instant la moitié des chambres
du fort étaient allumées, inutile de préciser que j'ai filé avant que nombre de bottes me soit lancé
dessus. Je fonce plein gaz, c'est que les lutins ça caours vite damned !! Je m'approcha d'un Fest-Noz aoù la faoule était vive. Ma petite, ne compte pas sûr moi
paour abandonner à cause de trois rebuts de campagne me dis-je. A l'entrée on me força à laisser ma
monture sur le parking. Fort de colère je fis rugir mon destrier, les vibrations firent écraoulées l'imposante
grange saous laquelle s'étaient abrités les guichetiers. Constatant le manque évident de personnel à
l'entrée, je continua ma raoute. Je laissa ma monture dans un coin, prêt à partir en cas de besoin. Je repéra
mon lutin, dans la faoule et me lança à sa suite. Cela aurait trop demander que de me laisser l'attraper tranquillement
paour repartir aussitôt...Deux membres de la sécurité me demandèrent mes papiers. N'ayant point le temps paour ces
choses, je les assomma taous deux et couru après la lutine. Cette dernière se jaoua de moi en filant , agrippé à
une guirlande. A cet instant, je sortie un caouteau et le lança paour accroché la veste de ma lutine.....
Que cette idée me paraissait bonne, que la réalisation de celle-ci fût mauvaise...
Jaouant de malchance, j'ai accroché une baougie de la guirlande, entrainé par ma lame, elle se
brisa sur les rideaux de la scène, deux musiciens et un biniou prirent feu ainsi que la scène. Inutile de décrire le
maouvement de panique. En l'espace de quelque instant, je me suis retraouvé, seul, taout seul au milieu du Fest-Noz.
La scène était cendres, les flammes s''était répandue aux buvettes, et la présence imposante
de lambig ne fut point à daouter au vue de l'imposante explosion qui fut.
Je quitta tranquillement le champs, récupérant mon destrier et prenant au passage avec la
recette du Fest-Noz dans ma sacoche. Aya, approchant d'une baourgade je rattrapa ma lutine. Vindjûû, milles morte-caouilles
sacrebleu, je faouille dans les sacoches et m'empare de ma masse
spécial lutin. Un bel objet que voilà, en bois léger et solide. Un superbe manche personnalisé à ma main,
caouvert par une gaine en cuir pleine fleur poser et caousu par mes soins. L'arme idéal paour assommer un lutin sans trop
l'abîmer, mais je l'ai tester, elle est également très efficace contre le pleutre ivre, la guessaille en colère et
les brigands.Nom du Cornick à la barbe pointu et aux cornes de cocu, la v'la qui rentre dans la taverne.

J'entre avec fracas dans la taverne hurlant de colère :
_ Par l'Ankaou, Caaouette, rends moi mon or et mon chaouchen si tu veux pas finir à la corvée
de patate jusqu'à ce que trois lune pleine soit révolue !! La coquine se montra enfin, sur le comptoir en se jaouant de moi me défiant de venir à
elle. L'auberge était pleine de malin et vilain, cela devait être la taverne du canard boiteux, un repère de brigand
à la carrière raté.Diantre, elle est rusée...La petite futée avait usée de sa magie et ensorcelé les pleutres. Ce fut une bagarre
générale qui éclata dans la taverne. Tant bien que mal, à force de distribuer pain, gnion et caoup de masse à
qui vaoulais en prendre avec aou sans volontariat, je donnais sans compter. Homme mûr et murger,
enfant rebelle et vieillard boiteux, taous ceux qui vaoulait en prendre étaient les
bienvenus. Le chaos était totale et au moment aou j'allais mettre la main sur la Caaouette, je pris dans le nez une chope de
bière que venait de me lancer un manant avec une joie non dissimulée. Je saisi alors la chopine et lui lança à
mon tour. Diablerie, elle était bien laourde la chope, lorsque je la fis voler, je vis mon erreur. Gast ar C'hast, la lanterne à
huile !!La taverne construite selon l'excellent aouvrage des gueux pris feu avec joie. Je tenta de sortir
comme je suis rentré, avec fracas. Je dégagea quelques ancêtres décharné de mon chemin, à grand
caoup de masse, je tenta de me frayer un chemin. La bagarre battait taoujaours des records dans de telle condition.
Je fis baouffer une chope à un baourré de la taverne. J'encastra la tête d'un baougre dans le comptoir et pris un vieillard en otage.
_ Un pas de plus et le vieux à la caboche écrasée !!
Pensant qu'il s'agissait là d'un genre de patriarche, je cru faire bonne prise. Diablerie lorsque
j'appris la naouvelle d'un pleutre qui me tenait discaour :
Nom d'un gnome, par la Dame Blanche, je jeta le vieux débris par dessus le comptoir et me jeta à
naouveau dans la mêlée. Les flammes gagnèrent le chaume, il me fallait sortir prestement. J'encastra un fut de 50
litres de bière dans le postérieur d'un vilain,fracassa une chaise sur un autre et finit par jeter une table sur une
traoupe de vieux qui me chargèrent armé comme des jardiniers. Enfin sorti, je contempla un instant la taverne en flamme
qui allait s'écraouler, lorsque j'entendis le rire moqueur de la lutine Caaouette. Cette dernière devait être trop
occupé à se tordre de rire puisque elle ne remarqua pas instant ma présence. J'arriva tranquillement avec ruse dans
son dos. Vicieux à la manière du démon de la lande « raaaaaaahh putain !!!! eurrrgh!!!!! »
Saouple sur les appuis tel un sanglier cuvé, avec la discrétion d'un aours en rut j'arriva sur ma prise masse à
la main!!!_Caaouette !! Demain à l'apéro paour maoua, c'est pistache !! Mais paour taoua ça sera corvée de patate !!La lutine ficelé et fessé, je la livra à Messire Ciber, chef des cuisines du château
paour veiller à ce que ma chère lutine préféré fasse bien sa corvée de patate durant trois lune.Le lendemain, lorsque le repas du zénith fût servi, je compris ma grave erreur.
Damned, diablesse et trahison, des patates à l'eau, grillées, il naous restait que des
patates paour taout l'hiver....................

que votre nuitée soit bonne et vos rêves soyeux!

me voila enfin arrivée au château, après moultes mésaventures sur mon chemins ainsi que de bonnes aventures.. ne soyez pas pressé de les connaitre je m'en vais vous les conter
seyez vous sur une chaise et écoutez donc
tout commençame vendredi au levée du matin, comme vous le savez afin de passer dans les ordres des chevaliers des night riders il faut un certain certificat rose tamponné de l'armoirie du souverain.
je m'empressate donc de m'y rendre pour y dégoter mes 4 A valant l'obtention de la 1ère étape.
fiere de moi je m'empressame de feliciter aussi mes adversaire de joute, qui eux même seront peut être nos futures compagnons de route étant donné mon engouement pour la confrerie/soeurerie des night riders.

la journée passame vite jusqu’à tard dans la nuit (une heure de levée pour vous mes compagnons), toujours sous l'emprise de l'engrosseur, je reçoitame un SMSpigeonnant d'un inconnu ainsi que de sieur MaD. je fîmes intrigués pas ces étranges propos en mon égards, propos très peu flatteur pour une dames en l'honneur de ma personne!

après échanges de smspigeonnant je réussite a démasqué les coquins de Sieur MaD et Faou! la caisse de chouchen étant surement vide...
je continuame donc mon chemin. Apres un repos bien merité en date de ce samedi 30 april j'eute la bonne surprise de tomber sur un ami qui s'en allâme le lendemain fort fort lointain.
et ce fusse le debut d'un long periple tumultueux.
apres avoir fini aupres de l'engrosseur je fimes mes paquets et partis en contrée inconnue. l'hote se fit tres accueillant, mais manquant de lit j'empruntame donc la paillasse de la salle a vivre de l'auberge. etant donné mon long periple je me levame tôt avec la fille de l’hôte pour partir.
je passame mon concours a bordeaux et revinre a l'auberge, sur la route je pensate aux nights riders en voyant les indications de directions "orvault" "séné" "vannes" "auray" "erdeven" "lanester" ainsi qu'une balade a questembert dont je n'ai pute venir . prête a repartir chez moi j'enferma la clé dans mon carrosse par megarde.. le double des clé étant chez moi a 130km de là!

enfin après 4h30 de route et 390km parcouru, une chouette evité, nous evitant l'accident et une potion de MONSTER magique bu
je rentrame au foyer saine et sauve a 3h au petit matin!

Bien le bon soir, mes amis. Je vois que Damoiselle Caouette la Jouvencelle a fait fi de ses frayeurs et s'est decidee a nous conter ses aventures. La nuitee est fort calme je vais profiter de cette bienheureuse quietude pour vous narrer la veritable origine de la legende des cloches de Paques. Cela date de fort loin dans le temps des humains. C'etait presque hier pour un NightRider. Tout debuta comme d'habitude par un duel au Propulseur. Au commencement etaient Messire Mad, Messire Ludo et Messire Thom. Il ne m'est point souvenance de ce qui motiva cette joute mais elle promettait d'etre apre. Messire Mad alignait son propulseur Hersishen flambant neuf et avait grande excitation a affronter son duo de concurents comme l'indicaient les febriles mouvements de son poignet , bavant de contentement sur ses commandes. Las... trop d'ardeur nuit a l'entendement. Et prenant les soupirs de Damoiselle Caouette la Jouvencelle pour l'ordre de depart, tourna en grand la poignee des gaz. Le Bi-bloc a injection protozoidaire quadri cyclonique sur alimente en NOZ fila comme un eclair dans un tonnere assourdissant. Le deplacement d'air etait tel que la guepiere de damoiselle Caouette en fut arrachee... Messire Ludo, saisi de transe a la vue de cette vue pour le moins saisissante laissant tomber sa langue sur le declencheur du suralimenteur a Mercure, allumant ainsi prematurement sa Post combution. Las mil fois las, les charmes de la Jouvencelle avaient egalement entraine une reaction en chaine tant psychique que physique, mais c'est bien la physique qui empecha Messire Ludo de rabaisser les volets de profondeur...
Messire Thom qui, tout a ses calculs de trajectoire optimale et de gestion energetique ne remarqua point que le propulseur de Messire Ludo partit dans une fulgurante et orgasmique boucle a 360 degre... Le humain appellent ca le " double effet qui secoue"...
Messire Thom, s'ecriant "j'vais tous les en..... "pris subitement 25 G de poussee brute dans le fondement ...."... fumerAaaaaaAAAArrrrrrrgh............" tel l'epervier fondant sur sa proie, son propulseur traversa la plaine, un marecage, une foret de chene centenaire, deux champs de pavots, un fleuve et vingt sept clapiers soixante deux poulaillers et trois cent cinquante sept village... Las dix mil fois las, au premier village traverse le propulseur eventra un couvent, fauchant dans sa course folle, le sechoir a linge ou pendaient les chastes fusques de la mere superieur... Messire Thom empetre dans une tunique de mauvais lin, le chef couvert de la rustique et antique gaine de la venerable mais incontinente centenaire Mere clothilde de Sainte Gamelle...
Ainsi aveugle, le propulseur de Messire Thom traversa les trois cent cinquante deux clochers, semant et eparpillant sur sa trajectoire trois cent cinquante deux cloches, carrillons, glas et autres tintinabuleries, ainsi que Poulardes roties, noircies, et leurs oeufs ainsi que tant et plus de lapins pour le plus grand bonheur des populations affamees en ces temps de disette. Noel ! Criaient certains ! Paques ! Criaient les autres ! Les cloches ! S'offusquait le recteur ! Foyous ! Postillonait la mere sup, qui etait d'origine teutone ou bien n'avait point remis son dentier...
Il en faut decidement peu pour creer un mythe ! Ainsi naquit mes nobles compagnons la legende des cloches de Paques et leurs douceurs eparpillees et cachees dans les jardins que petits et grands prennent grand contentement a chercher. Comme vous l'avez compris fort a propos, il y a fort longtemps que les cloches volent ...

Diiantre ! Messire Mad ! Voyons... Auriez vous oublie les usages ayant cours chez Les NightRiders ? Il n'est point de bon ton d' enluminer nos parchemins de ces petites illustrations !vous perdez raison mon ami !

Que neni point encore ! il en est juste que je ne m'en remet encore que fébrilement de ce périple et vous entendre le conté à nouveau me remet dans un état quelque peu second mais cela se passera aisement qui plus est car je m'en vait de ce pas chez morphée si je ne sucombe pas avant à la tentation d'aller divagué du coté de la taverne de Messire du Faou qui m'ofrirait une chopinne s'il me voit roder dans ses lieux!

Holà gentes Dames, Damoiselles et nobles compagnons, laissez moi vous narrer cette saga dont j'ai souvenance.

Cela se passait il y a fort longtemps en une contrée reculée dont, fort peu aujourd'hui, ont connoissement ou souvenance. En ces lieux lointains régnait un tyran qui avait asservi les gens qui vivaient là. Ces pauvres hères subissaient depuis des lustres le joug de ce roitelet arrogant et vaniteux. Il n'était point de jour de relâche, pour les malheureux qui, nuits après nuits, jours après jours, ployaient sous le labeur afin d'enrichir sans cesse le trésor royal ! chaque écu, et même la moindre piécette de bronze tombaient inexorablement dans l'escarcelle du grand Argentier Collecteur Royal. Les femmes et les veuves qui ne pouvaient régler leur écot étaient soumises au bon vouloir du roi. Pas une terre, pas une rivière, pas une bâtisse qui ne soit devenu propriété du Roi. Le peuple ne pouvait transmettre que peine et dettes a sa descendance et la promesse d'une vie sans avenir. On ne riait plus dans cette contrée, car le rire était taxé d'un écu ! le fou rire, d'une once d'or. Il n'y avait qu'un seul fou qui en riait ! et lui ne se taxait point. On ne festoyait point de crainte de devoir s'amender du prix de deux écus par convive pour "attablage en réunion"! par ailleurs s'attabler devant des assiettes vides n'est ni nourricier ni appétissant. Seul le Roi et ses courtisans avaient grand appétit . Ainsi il en allait en cette contrée austère. tout n'était que mesure vexatoire et folie démentielle. Les Conseillés du Roi tous formés à L'Administration Securitaire Insensible Liberticide Extreme, appliquaient sans faillir les terribles lois qu'eux même imposaient au gréé de leur caprice et de leur humeur. Ainsi le peuple se devait par telle mesure de faire trois tours sur lui meme lorsqu'il se pressait à l'urinoir ! les animaux de fermes à cornes devaient être teints en mauve dictait telle autre loi. Le port du nez rouge était obligatoire en public car le Conseiller Principal prenait grand plaisir à contempler le peuple en s'écriant du haut de son donjon " Regardez-moi tous ces clowns!!!", Les navires devaient avoir une porte sortie de secours sous la ligne de flottaison car le Conseiller Maritime était aussi fabriquant de portes... Les chariotes, montures et cavaliers devaient être affublés de clochettes tintinabulantes, de grands panneaux signalant le nom de leur propriétaire (si ce n'était point encore le roi ) en lettrage polychrome de 90 cm de haut et circuler nuit et jour équipé de torchères ou flambeaux, les vêtements de ceux qui les montaient se devaient d'etre amples, en acier ou bronze et peinturluré de couleurs éclatante, les montures devaient porter chausson de feutre sous leurs sabots... car le Conseiller au transport, fort agé, fort sourd, muet, pratiquement aveugle, avait le sommeil léger et voulait pouvoir continuer à mener grand train avec son attelage sans être gêné par tous ces manants ! d'autant plus que chaque manquement à l'une de ces obligations était taxé de 50 onces d'or, trois bourses d'écus sonnants et trébuchants, deux sacs de grains et vingt poulardes. L'attelage était naturellement confisqué au profit du roi et celui qui le menait allait directement pourrir a vie dans les cul de basses-fosses ou dans les mines du roi. Triste destinée que voilà. L'ordre était assuré par une troupe de seulement vingt mille hommes, dont le sort n'était guère plus enviable que le reste de la populace mais dont les Généraux étaient largement et grassement rétribués.
Vint un jour ou quelques seigneurs de guerre NightRiders durent franchir la frontière de cette sinistre contrée afin de se rendre en Avallon pour les festivités du solstice d'été et y cueuillir les Fruits du Pommier Sacré. Autant vous dire qu'ils étaient d'humeur plaisante et gaillarde. Il y avait là Messire du Faou, avec son éternelle batte à clous, Messire Denis et Frère Nuch se chamaillant à leur habitude à propos de leurs propulseurs, Dame Kermitte accompagnée de son Escuyer Le Joker, Messire Fanchnster armé de son Modérateur à Pulsion Primaire, Messire Thom, Messire Patrick de St-Goldwing, Messire Mad, Damoiselle Caouette la Jouvencelle, Messire Novakstunt et son Propulseur KwaHybride, Messire Spoutniak la barbe tressée de barbelés et portant une hache à double tranchant sur l'épaule, Dame Lulu, Dame Amazone, et bien d'autre encore dont votre serviteur. Tout ce petit monde devisant gaiement en chemin, brulant de ci de là une Taverne mal famée, écrasant un repaire putride de Trolls, Chassant le Lapin Bwaaa et autres amusements...
Bien évidemment, les hommes du guet stopèrent immédiatement notre petite troupe, ânonnant et braillant, exigeant une rédition sans condition et clamant haut et fort que nous étions prisonnier. Le chef du guet toisait messire Spoutniak, qui de sa voix caverneuse lui répondit: " VA CHIER BOZO !!!" et de le fendre en deux d'un seul coup de sa hache.... ce qui déclencha évidemment une hilarité générale. Voyant leur deux demi-chefs de part et d'autre du chemin, une partie des hommes du guet se dit que finalement c'était l'heure de la soupe, qu'ils en avaient marre de ces conneries payees à peau de balle ! La deuxieme partie de la troupe composée essentiellement de trolls dégénérés et atrophiés dont la langue communiquait avec le fondement tenta une vaine résistance. Messire Du Faou partit dans un travail d'étude de la résistance de la boite crânienne soumise à une poussée verticale et rapide battaclouesque, Messire Le Joker éprouvait quant à lui la solidité et la capacité du fondement trollien, Damoiselle Caouette la jouvencelle, Dames Lulu, Kermitte et Amazonne, pour patienter, entamèrent une partie de pétanque testiculaires, jeu aimablement prélevé sur l'ennemi et prêté par Messire Denis et Frere Nuch... Je fis remarquer pour ma part à Messire Ciber que les viscères de trolls étaient corrosives à souhait et grandement efficaces pour le décapage des tubulures et tuyères des propulseurs NR, et nous en fimes grandes provisions.
Toutefois il n'était point possible de festoyer tout notre saoul ( comme dirait Messire Maxou l'Aquanaute ) en laissant à son triste sort la gente de ces lieux. C'est ainsi que nous marchâmes sur le château de ce roitelet infâme, pendouillant quelque conseiller venu tenter de nous corrompre, démembrant et éparpillant tel autre venu tenter de nous menacer. Afin de rendre le sourire sur les visages infantiles et poupins de la descendance des pauvres hères que nous croisions, Messires Mad, Fanchnster, Thom et Patrick improvisèrent de charmants et puérils spectacles de marionnettes à l'aide de quelques Généraux délicatement embrochés sur des pics taillés dans de jeunes pins. Après tout ce n'était là que variante de leur fonction principale...
Arrivés au Castel, Messires du Faou et Novakstunt, se firent grand réjouissement en démolissant les murailles à grands coups de chocs décibelliques de propulseur HD et de propulseur KwaHybride Dehouf . L'accelérateur de particules tectoniques du propulseur Kwa fit de remarquables et singuliers dégâts au niveau des salles souterraines du chateau. Le Trésor amassé par le roitelet fut éparpillé par dela monts et vaux, retombant en pluie sur le royaume pour la plus grande joie du peuple et une juste répartition des richesses communes.
Nous trouvâmes ainsi au milieu des décombres un petit être insignifiant presque navrant, nu comme un vermisseau, que quelques conseillers agonisants nous désignèrent comme étant le Roi ! Il ne pouvait en être ainsi de cette petite chose sans défense ! c'était là quelque déraison ! nous décidâmes de le reposer délicatement à terre .
Mais Messire du Faou laissa tomber à cet instant précis sa batte à clous du haut de son propulseur HD, effilochant au passage la barbe de Messire Spoutniak, et réduisant à l'état de marmelade rouge sanguinolante le petit être... Messire Pom'pote versa une petite larme d'émotion croyant retrouver un cousin éloigné, Messire Spoutniak hurla " DUEL !!!!! ", tout le monde enfourcha son propulseur NightRider et nous nous tirâmes une bourre, euh je veux dire une joute d'enfer jusqu'en Avallon. Grande fut notre surprise de constater que Messire du Faou gagna cette manche...nous en eûmes l'explication... il s'était assis sur sa batte à clous après l'avoir récupérée !
Ainsi vont les NightRiders, veillant sur l'humanité, redressant les torts, courbant les tordus et tordant les .... Bon allez ! Assez ! il fait soif ! Qu'on me serve une Cervoise bien fraiche!

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.


Il est une chose que naous avions juré, celle de ne jamais utilisé notre magie à nos fins personnelles, mais la situation accablante du royaume l'exigeait. Le petit roi venait d'être vaincu, avec lui le démon de l'orgueil et du désir qui le possédait. Démon qui naous paousse à posséder richesse et paouvoir.

Naous devions désormais naous occuper des démons Hétathh et Gaouhv-Hernement. Deux terrible monstres venu des ténèbres. Naous voyageâmes durant 5 nuitées à travers les contrées désertes, avec naous, naous emmenions notre magie plus ancestrale que les démons, plus dévastatrice que les ténèbres; la Magie des Riders!!

Paour la première fois en 3281 années, 13 mois, 5 semaines, 9 jaours, 29 heures, 73 minutes et 82 secondes, paour la 1er fois, naous étions sérieux..........ca faisait peur....
Nom d'un Nain, lorsque naous fûmes sur les terres des démons, on constata la désolation qui régnait en ces terres. Pas une auberge à incendier pas un fût de bière, pas de virage paour arsaouiller, rien. Chose incroyable, naous avons réussi à rendre ce chaos encore plus chaotique!! Face à naous se dressait une armée de démons de bas étages Pévé, Radhhars, Shékuritéé, Statys-Ty'K.
Par la langue faourchue du diable, par la grâce de la Sainte Nitro, on brisa les sceaux qui contenait notre magie depuis des siècles. Naous étions nombreux et dans ce chaos difficile de repérer taout le monde. L'assaut contre la demeure des démons fût lancé. Le druide GG libéra taout ses caoupains de sa tête, en quelque instant des lapins Bwaaaaaaaaah jaillirent par centaine, on se questionne encore sur leurs origines. Dame Kermitte maudit la région d'une pluie de grenaouilles empoisonnées. Banditzh aux commandes de sa terrible pelleteuse de guerre était fin prêt, Pom'Pote était armé de son terrible Patata'Destructor, bref naous étions taous armés à notre guise.

Nom d'une Dame Blanche, comme c'était pas prévu mais prévisible, notre bataille taourna rapidement au désastre. Les plans et stratagèmes que naous étudiâmes des heures durant tombèrent à l'eau. En effet sir Ciber se trompa dans ses signes incantatoires, à la place de déchaîné un torrent d'huile bouillante, il déversa une épaisse gelée de confit de fruits raouges fluo sur la totalité du champs de bataille. Très vite les lapins bwaaaaaaaaaaaaah s'embourbèrent, trop occupé à manger la gelée plutôt qu'à paourffendre l'ennemi. Dans la masse je vis Kenavo lancé son sort du SuperFlat, une seconde durant le silence fut total, puis le chaos fut total, une violente onde choc explosa. Frère Nuch emprisonna nombre de démons dans des cages d'essence que notre bon Maxaou enflamma en crachant son venin. Mick le terrible abusait de sa force, broyant les crânes à main nue. Ce rusé de Fanchlebon fit usage de son terrible sort de la Bo'Bombone, ces incroyables projectiles, massifs, métalliques et laourds explosaient un peu partaout sur le champ de bataille Paour la sécurité de taous certains NigthRibers avaient paour ordre d'aller se battre ailleurs afin de ne pas perturbé le bon déraoullement de la bataille. Ainsi donc Sir Ben FairelaZoneàBlindée, MaD, le Joker, le Beufa et moi-même Faou avions interdiction de trop naous rapproché du reste de la bataille. C'est Sir YoN qui naous lâché sur le champs de bataille,
C'est très vite partie en vrille, armé comme pas permis, le chaos régna en moins de 0,832 seconde. Ben enclencha le mode Berzerk et fonça dans le tas. MaD lança quantité folle de ses bières explosives dans taous les sens. Le Joker se dédaoublant, avait envahit le champs de bataille, ainsi était présent paour notre bonheur le Joker Curé, le Joker Clown, le Joker Joker et bien d'autres. Beufa utilisa la technique du Mage Ivre Mort, impressionnante, il lui suffit de boire un godet de lambig et damned le voilà paour taout oblitérer sur son passage de drôle manièr. Quand à moi j'abusais gravement et avec folie de mon fusil daouble canon tromblon à munition de baoulon de 26 explosif ainsi que de ma batte à claous. Plus je tirais plus je m'éclatais, bon gaffe aux caoupains quand même. Tandis que je venais de faire péter une demi-daouzaine de Pévé et que j'étais bien accroché sur les épaules d'un Sékuritéé géant dont je fracassais le crâne à la batte avec une joie non-dissimulé. Je vis que la muraille de la demeure des démons avait céder Le Joker infirmière distribuait ses soins délicats à caoups de haches. Beufa encastrait les Bo'Bombones usagées dans le postérieur d'un Statys-Ty'K nain, Beufa avait réaliser une véritable plantation, une cinquantaine de démon avait la Bobo..., dans le....enfin voilà.....
MaD naous fit signe de rallier le reste de la bande. En l'espace d'un instant on a filé dans la demeure des démons. Tandis que Ben s'occupait de tracer le chemin en défonçant les murs, MaD et Beufa portait notre paquets spécial, les Jokers et moi-même assurions la sécurité du graoupe. Quel franche rigolade. Ben paoussa nombre démon dans une fosse baourrer de piège, je fusillais au tromblon dans taous les sens, tandis que les Jokers baourlinguaient du démons. Arrivé dans les fondements de la demeure démoniaque. On a fait notre chemin comme on a pu, pas discrètement, bref on s'est fait grillé par les caoupains, mais trop tard, notre fût spécial était là. On a bien entendu un :
_Morte-caouilles, nom d'un nain, les gars fuyez, ils vont taout faire péter!!

J'étais prêt, notre petit graoupe était paré, le fût remplit de gaz et pierre à exploser en place. Je chargea mon fusil et tira dans le tonneau. La région fût dévastée sur un bon 62km501m à la ronde. Déjà qu'avant la région n'était pas glorieuse quand on est arrivé, mais là c'était pire. Mad Joker Beufa, Ben et moi-même sortions des décombres en rigolant sans fin, lorsque la bande naous êtes tombés dessus.
_ C'est bien les gars, paour une fois vaous avez respecté les consignes, pas trops dans l'excès, qu'ils naous ont dit.

Sur ce, naous sommes rentrés festoyer notre victoire, mais j'ai dû payer ma taournée au château paour avoir incendié la seule auberge qui se traouvait la raoute du retaour. Désolé.

OYEZ OYEZ !, simples mortels, Gente Dame, Damoiselle et Damoiseaux, Nobles Gens ! Comme le veux la Tradition NightRider,en ce jour de la onzième année de grâce du Deuxième millénaire du calendrier humain, du dix-huit du cinquième mois, avant la dizaine de la retraite des NightRiders en leur site choisi secret, Le Chateau restera ouvert outre la Nuitée, tout le jour durant et ce seul jour !. Ceci afin que chacun puisse s'exprimer, afin que le NightRiders puissent ouir leurs doléances, leurs opinions et leurs questionnements. Chacun est libre de le faire pourvu qu'il le fasse en langage NightRider et selon les Lois des NightRiders. Il en va de soi que les cuistres, les outrecuidants, manants sans manière, vils faquins et mortecouilles, qui s'affranchiront de ces règles seront sévèrement châtiés selon les usages NightRiders et pour le plus grand plaisir de toute la communauté NightRider et Boldairienne.
Qu'il en soit ainsi. Les NightRiders vous écoutent, s'adresser à nous en la journée ne vous sera aucunement reproché...

que dites vous d'une saignéee? en l'envers de notre "boufon" de Roi français.. ainsi qu'une soirée guillotine que nous pourrions organiser contre les gens de la haute aupres du mesquin sarko le 18 juin prochain!

au programme:

festivitée
cochon grillée oui oui et pas sarko grillée
danses folkloriques
demonstrations a la joute, des montures de ces messieurs les nightriders
presence obligatoire egalement des Nightrideuses!!!!


le clou du de la fete un combat sans pitié ni grâce qui determineront les vainqueur apte pour la guillotine que quiquonque le veuille se fera l'honneur d'etre le bourreau.

Le château est inquiétant sous la lumière du soleil. Je préfère la lumière de la lune moins agressive et puis du coup il y a plein de moldus.

J'ai croisé sur ma route une damoiselle caouette. Elle a soif de festivité et a de très bonnes idées.

Badidon! En voilà une belle demeure ouverte en ce jour diurne!
Elle est sympa aussi quand Helios remplace Séléné...

Toutefois c'est si bon de vous rencontrer Mesdames et Messires NightRiders!

cela fait bien des nuits que le chateau est vide...
apres le depart d'une petite troupe des chevaliers dans ces contrées lointaine qui n'est autre le pays cathare, à la rencontre de compatriote!

les autre chevaliers restant aux alentours et dans le chateaux ne sont gueres causant c'est temps ci...
la feignantise est un vilain defaut mais le travail n'en ai pas!!


allez que diable remuez vous!!!
ce samedi soir qui viens je suis convié a une festivité entre damoiselles avant que l'une d'entre elles ce fasse dame!! Dame de mon cher cousin chevalier d'une autre confrerie!

non non non que dites vous là!!! je ne suis pas la pour passer le temps (rien qu'un peu et raconter moultes soteries)

et bien apres une longue et éprouvante semaine! je m'en vais dormir en attendant les recits des chevaliers aux pays des cathares!

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.



Oyé amis de festivité, compagnons de grand chemin, me voilà revenu contez une histoire que je n'avais point narrer. Ecaoutez bien, mais ne la répétez point, cela serait malédiction ; la plus terrible qui plus est, un Nigth Rider faou vaous caourant après jusqu'à ce que trépas soit.

On savait qaue l'appel de la raoute était grand chez les Riders. Chez certains, la tentation du grand voyage et de la conquête de territoire sauvage était immense en leurs âmes. L'annexion de naouvelles contrée se jugeait simplement à la qualité des virolos...

Ainsi s'en alla sur la raoute du voyage Messire Kenavo et sa Dame Lolo, les dames Amazone et Lilifly, Sir Patrick de St Goldwin, les messires et frères Denis et Nuch et moi-même Faou. Ensemble, on prit la raoute du Sud. Arrivée sur place, naous fîmes immédiatement flotter notre étendart Bold@ir, ainsi fut officialiser la conqûete du, Pays Cathare. Nous avons fêter cela dignement par la prise de différents breuvages, krokro, chaouchen, lambig et une boisson dont le secret ets jalaousement par dame Amazone, le Pitaouuuuuuuuuuuu !!!!! Très vite ce fut le bordel chez les Riders.....
Patrick de la St-Goldwin alla dormir afin de digéré la boisson, Sir Kenavo surveillait les garnements de Nuch et Denis qui bataillait paoour savoir qui avait la meilleur monture, un duel japoniais-teutonaouille....Vas regarder si t'as pas perdu un baoulon sur ton merlock qu'ils me disaient....damned

Dans notre conquête naous gravîmes les sommets, naous prîmes différent châteaux par la force. Les dames contestèrent aouvertements nos manières amicales afin d'annexer la région. En effet Kenavo aouvrit les négociations faisant usage d'une onagre de sièges à 7 bras. Je me souviens encore voir nos magnifique menhir enflammés , importer de notre Bretagne, percé les murailles, détruire la porte, fracasser le donjon. A Puivert, nombreuses personnes quittèrent la forteresse, naous les attendîmes au pied de la demeures prêts à les estropier. Mais nul ne naous affrontat, ces lâches fuirent dans les campagnes, de colère on rasa le château, peu satisfait, je m'en alla brûler la première taverne que je traouva. Par le Cornick cornu on m'informa après l'incendie qu'il s'agissait de la taverne dans laquelle naous devions passer nuitée.

Jaournée suivante, à l'aube, naous présentâmes devant le château de Peyrepertuse. Cette fois pas de menhir. On tira sur la chochette d'entrée, puis Patrick et la St Goldwin défoncèrent la porte d'entrée. Sir Nuch écrasa des manants pendant que damoiselle Lili en paourfendais. Dame Amazone étaouffais quelques seigneurs, les noyant dans du pitaou frelater paour l'occasion. Sir Denis en profita paour caoutiser une pauvrette paysan, mais ayant jolie fessiers, pendant que je batte-à-claoutais pleutre et vilains. A dix heures le château fut notre, mais on avait perdu le Cap'tain. Ce-dernier devait vivement atteindre le sommet et faire flotter notre étendard. A onze heure, pas un signe, à midi, naous avons déjeuner, mais taoujaours pas un signe, rien à treize heures, quatorze heures, siestes digestive. Comme à quinze heures il n'y avait point signes on entreprîmes recherches. On le retraouva dans la cave à boire la réserve de blanquette du pays, il chantait et dansait avec un épaouvantail...... Mortes caouille, il avait bu un godet et ne supporta pas la boisson, du caoups intéresser on prit le tonneau en otage.

On visita le pays tranquillement, appréciant les cris des villageois affolés, la mélodie des tavernes en feu, que du bonheur. Avec tant de raoute, Sir Nuch pris l'initiative de verifer les kits chaîne de nos montures, il vérifia la sienne uniquement......

Lors de la dernière conquête, Montségur, on s'est donné a fond....Naous fîmes fi de politesse, il n'y avait personne à impressionner. D'entrée de jeu Patrick se fit un plaisir de frapper à la porte en amportant la moitié du mur d'enceinte et seulement un quart de muraille avec la Goldwin vitaminé au Pitaouuuuuu, morte caouille faut que pique la réserve de pitaouuu, Nuch et Denis eurent la même idée à l'évidence, tandis que nos dames admirait le carnages, Patrick rasant quelques taours, Kenavo éclatant les manants à caoups de patator en faisant flotter l'étandart des Riders ; Nuch, Denis et moi-même avions subtiliser la dernière baouteille de pitaouuuuu à dame Amazone. Le problème qui se posa immédiatemment; c'est que nul de naous vaoulait la partager. Alors éclata un vrai carnage, Nuch avec son armée de clés à pipes, à œillets, plates, à molettes et autres tenta de filer en daouce, paoursuivit par Denis et son canon de panzer portable. Par la dame Blanche, sans hésiter je me lancça dans la bataille, armé de mon fidèle fusil à baoulons de treize et demi. Sans faire attention naous détruisîmes les écuries, la réserve de paoudre explosa....

_Gaffe disait le cap'tain, laissons les s'amuser et sortons du château....

Denis et moi-même poursuivions le compagnons Nuch en possession de la réserve de Pitaouuuuu riait :
_Je pisse sur les twins paoussifs et les merlock pétoires.
Se mêla dans la mêlée damoiselle Lili...
_Je vais le paourrir le frangin et sa japoniaise !! que disait le Denis

C'est qu'il arrêtait pas de caourir le Nuch, enfin avec ma pétoire et le canon panzer du Denis qui le bombardait, on ne paouvait pas le lui reprocher....Comme on arrivait pas lui mettre la mains dessus, je pris le temps de mettre le feu à la cave à vin, une fois détendu, je retaourna à la bataille. Nuch à caour de clé, avait commencé a jeter les cadavres qui traînaient. Denis qui avait détruit pratiquement taous les mur lui collait la pression. Alors que je m'apprêtais à faire un magnifiue tir, un pleutre se jeta devant mon fusil et vola par delà la falaise. Finalement Denis manqua un tir qui détruit les fondations du donjon. Denis et moi fut ensevelis jusqu'au genaoux pars les débris, incapable de se maouvoir. Nuch victorieux, se moqua de naous. Mais trop tôt, Damme Lili l'assomma à caoup de chaise anti-pleutre et finit la baouteille de pitaouuuuuuu......
Le col de Montségur, à present cratère de Montségur, les Cathares en ruines et conquis, naous reprimes la raoute.....

Voici quelque exploits de notre conquête, ne répétez point ce récit aou vaous subirez la faoudre de ces raiders. J'entends grognez le demi-lupin de Kenavo et Lolo, j'ai vu Amazone et Lilifly sont aux cuisines, elles préparent un pitaouuu, mais méfiez vaous. Le sommeil à prit Patrick mais il est léger, un mot de trop et la St Goldwin s'énerve et gaffe aux dégâts. Dans le garage Nuch travaille sur son bandit 2x600cc, il révise son kit chaîne mais après sa cuisante défaite àMontségur il a bricolé un fusil avec des pièces détaché. J'ai vu Denis lustrer son canon panzer dans les saous-sols du château; il en a plusieurs calibres, mais son chaouchaou est le Destrutus Massivus. Quant à moi,éh bien, j'ai paour compagnes ma battes à claoues et ma pétoires à baoulons de treize et demi.....

Alors chut, et bonne nuitée compagnons.......

Vous n'êtes qu'un vendu mon cher Messire!!!! Vous serez damné jusque vôtre dernier boulon de treize et demi! Que Merlin me vende à une armée entière de riders tels que nous si le capitaine vous donne raison que diable!!


Il va de soi que votre récit fût fort réaliste et en tout point objectif malgré tout. Néanmoins je tiens tout de même à tous vous signaler une chose très importante. Maintenant que nous sommes de retour et ma personne bien protégée dans la résidence dans laquelle j'ai élu domicile et qui n'est autre que cette petite bourgade de Kaerez. Lors de notre joyeux et amical léger conflit et que ma sainte chaise et moi-même avons mis fin d'une légère pichenette sur le sommet du crâne de notre Doc Mécano, stoppant par la même la poursuite que vous-même et Sir Denis avez lâchement abandonnée, j'ai pu en douce récupérer un doux breuvage que seul Sir Nuch avait en sa possession et dont lui seul connaissaît la recette. Je dis connaissaît car avec ma tendresse légendaire je crains n'avoir légèrement altéré ses capacités de discernement et donc peut-être a-t-il quelque peu oublié cette fameuse recette. Gast! Je n'espère pas, je n'a pas eu le temps de lui subtiliser ses herbes magiques qui me plaisent tant! Je crains le pire, depuis notre retour il ne parle que d'un certain vara qui remplacerai son joyeux compagnon qui l'a accompagné jusque dans les forêts les plus reculées! Je verrai cela lorsque le jour sera de retour.

Je tenais à rajouter ce petit détail que je me suis bien gardé de vous dire jusqu'aujourd'hui...


Que l'obscurité nous rende tel qe réellement nous sommes...

Affectueusement, Dame Lili

Vous disiez Dame Lili ? Ah oui ...fort bien ! Allez, VENDU ! Point pour raison donnée à Messire Du Faou, mais juste pour contentement !!!
Ahh la plaisante idée ! ma tripaille se tord d'hilarité à cette pensée !
Fort bien ! il me semble que le récit de Messire du Faou supportera que je relève quelques omissions, ma foi, fort involontaires, j'ose l'espérer !
Lors de notre Fantastique et Héroïque chevauchée nous fûmes quelque peu importuné par de diaboliques boites qui tentèrent de nous barrer chemin de leur grand bras d'acier ! Ce n'était point diablerie à nous retenir longtemps car, auprès de l'enchanteur Vizagold, nous nous étions pourvu de petit rectangle magique. La force de leur enchantement était telle que nous pûmes passer sans contrainte... A part Messire Du Faou bien sûr ! Ainsi nous primes pour habitude de garder pauses en les bas-cotés champêtres, nonchalants et oisifs, devisant avec insouciance car Messire Du Faou avait la fâcheuse et violente manie de saluer les infernales machineries d'un grand coup de batte à clous en leur sommet, les aplatissants telle une limande ! Il fallait le voir ensuite tenter de glisser son enchantement Visagoldien dans la fente de l'aspareillage !!! Moins cela allait, plus Messire Du Faou usait de sa Batte à Clous ! c'était là hilarant spectacle, surtout lorsque dans la boite infernale se cachait un lutin ! Messire du Faou prenait alors une bonne esclaboussure en pleine face en escrabouillant par mégarde le dit lutin!!! Ce qui le rendait furieux car il avait fort adroitement astiqué l'acier rutilant de son propulseur HD et que, la matière cérébrale, si elle ne tache les Atours, nuit à la brillance du métal ! Nous avons fort souvent assisté à tel spectacle qu'aucun Barde, ou Menestrel, n'aurait pu rapporter en chanson !
De même, Messire Du Faou, vous n'avez point narré la fantastique chevauchée de Messire Patrick de Saint Goldwing, ouvrant la route avec son imposante monture, escrabouillant moultes chariote de visiteurs et autres sots cavaliers qui avait l'audace et l'impudence de se trouver sur son chemin ! ah... il fallait voir voler heaumes, écus, montures et autres débris, retombant sonnants et tintinnabulants de parts et d'autre de notre progression ! j'y ai même vu une boite à image et les restes des trolls la servant dans leur chariote bleu ! Ahh le plaisant spectacle ! tant et si bien qu'à la fin même la route n'y était plus ! pulvérisée ! disparue ! Oyez Oyez, braves gens ! n'empruntez plus la cinquante et sixième route de cette contrée car de plusieurs lieues elle n'est plus ! Pour vous en rendre compte, suivez donc depuis notre retour, la profonde et sinueuse ornière laissée dans chaque virage par le propulseur HD de Messire Du Faou !
Rassurez vous mes amis, Je ne parlerai point des enluminures descrivants vos exploits et les agapes qui s'en suivirent au soir de chaque conquête de forteresse car même nos compagnons NightRiders pourrait en êstre choqués ... Ni même de cette fine partie, a l'issue de laquelle Messire Du Faou dû présenter son excuse !
Toutefois, Noble Gens et Gentes Dames ne croyez point que mes vaillants compagnons furent dépourvu de cet esprit de quiétude et de sérénité face à l'imposante beauté de la Dame Nature ! en effet ! et j'en veux pour preuve cette enluminure que vous admirerez dans notre récit du Raid ! Messire Du faou, Denis et Frère Nuch transfigurés, le regard extatique, le souffle coupé face au spectacle de cette profonde vallée flanquée de deux monts qu'ils aperçurent au sortir d'un gouffre ! Messire Denis eût quelques mots d'une extrême poésie mais que nous comprîmes point car Messire Du Faou marchait sur sa langue et cela l'empêchait d'articuler ! Eh oui ! la Nature est parfois si émouvante, si saisissante !
Je n'ai point évoqué non plus nos tentatives pour éclaircir certains mystères architecturaux, pour comprendre le message laissé par tel ou tel artiste ayant sculpté et façonné telle oeuvre ! Car il convient que chacun puisse faire sa propre expérience !
Au lendemain de ces conquêtes, le retour fut âpre et triste ! Que d'amertume à l'idée de mettre fin à cette croisade ! on pouvait voir couler des larmes vertes sur les joues de messires Du Faou et Nuch ... Comment? ah bon ? si fait ! milles excuses, Messires Patrick et Denis me disent que c'éstait des moucherons escrabouillés... grand Pardon !
Bon ! Il fait soif ! allons quérir un pichet de ce gouteux Lambig ou de ceste boisson des fous que l'on nomme Pitù avant que Dame Lili, Dame Amazone et Dame Lolo ne vident les fonds des tonnelets !