Night riders

"Chevaliers NightRiders" Tapisserie Locale, 11eme Siècle (broderie de la Reine Cunude de Vergonde)
Il s'agirait de la seule représentation connue des Chevaliers NightRiders Messire Nuch et Denis

"La Prise d'Arques" Bois polychrome du 13eme siècle par Yvan De Gogue

"Les Maîtres du feu" Représentation d'une cérémonie secrète NightRider,
Huiles sur toile, 13eme siècle par Léon Arde-Vinchiant.



l'enluminure représentant Dame Nature faisant actuellement l'objet d'une restauration la Direction
du Muséum d'Histoire NightRider a le regret de ne pouvoir vous présenter qu'une copie de cette
oeuvre remarquable peinte au 12eme siècle par le frère de l'ordre Khyslatien, Gedéon Theuzmani
(propriété de la Fondation Dehaiska)

La nuitée est fort calme et je vois que mes nobles compagnons sont tous d'endormissement. A croire que quelque enchanteur leur a jeté un sortilège ! mais je sent que leurs esprits sont agités car bien des combats et réjouissances se préparent. telle la Fest Noz Vraz ar Bol d'air où nous festoierons toute la nuitée durant. le Chouchenn et le Lambig coulerons à flots et pourquoi pas cet élixir que nous prépare habituellement Dame Amazone. Les chants guerriers boldairiens résonnerons sur les terres d'Armorique et les feux resterons allumés toute la nuitée pour rôtir et griller moultes victuailles . Car il nous faudra fêter dignement plusieurs évènements tels l'arrivée et l'intronisation des nouveaux chevaliers Boldairiens. D'ailleurs Damoiselle Caouette la Jouvencelle, maintenant devenu Damoiselle Caouette la Padawan, sera adoubée, si mes informations sont exactes, par Messire Jocker, qui de son épée, fera d'elle une véritable guerrière Boldairienne. Gageons là que Messire Jocker modère et tempère son enthousiasme et sauvegarde ainsi notre campement qui fût dévasté par l'an passé. Dame Lulu et Dame Kermitte adouberont pour leur part les nouveaux Chevaliers. Grande devra être la fête car en des lieux lointains sauvages et mystérieux Dame Lulu ira porter les fondations de l'empire Boldairien et quittera ainsi les terres des NightRiders. Grande est la peine des Boldairiens si son dessein s'accomplit. Mais il n'est point à douter qu'un jour ces terres brulées ne soient annexées et qu'y flotte l'oriflamme de notre peuple !

Il y a peu, le clan des katroubridés est venu quérir de nouveau l'aide des Chevaliers Boldairiens pour leur transhumance annuel. Les plus braves de nos NightRiders ont déjà répondus présent, fourbissant leurs armes, préparant leur monture. Cent soixante et dix chariotes de feu et d'acier chemineront par monts et par vaux à travers les Bros , et à leur coté, trente de nos meilleurs guerriers veillerons sur eux. Par l'an passé nous avons perdu lors des combats un cavalier Emérien dont la monture a trépassée sous l'effort ainsi que deux Chariotes katroubridés dont les cochers n'avaient su retenir la fougue de leurs attelages.

En cette nuitée, je prépare et échaffaude les plans pour les prémices d'une attaque sur les terres teutones de l'Ost au delà de Par Ys la grand ville des Francs ainsi que sur les Terres du Centre là où la Terre-Mère vomit son sang de roche ! J'ai d'ailleurs forts bon contacts avec quelques indigènes qui m'instruisent des us et coutumes locales et m'apportent moultes informations stratégiques sur les sites à conquérir. Nul doute que l'accès en sera plus aisé que sur les Terres Cathares et que les guerriers locaux seront plus résistants qu'en ces Terres du Pays d'Oc où le moindre cavalier craint jusqu'à l'ondée bienfaisante, allant quérir refuge sous les feuillages!!! ah les pleutres ! les mortecouilles ! . J'ai ouïe dire qu'en terre de l'Ost il existe une place Forte où les sorciers ont érigé de grandes défenses maléfiques pour tenter de faire perdre raisons à leurs assaillants. Ce sera grand divertissement pour nous, que de s'en jouer ! Les Europaparkiens, car tel est le nom qu'il leur est donné, peuvent prier leurs Dieux de leur accorder asile car nous allons les défaire à grands coups de casques, de bottes et d'étriers! Ce sont pourtant de vaillants cavaliers et leurs montures sont redoutables car elles viennent du coté obscur de la force. Mais nous vaincrons ! foi de NightRiders et nous boirons leur fameux breuvage, le Chenapse, dans leur crâne,... enfin, si messire Du Faou ne les escrabouille pas tous de sa batte à claous ou de sa pétoire à baoulons !
Allez, je retourne à mes intrigues. La bonne nuitée mes compagnons.

N'ayez crainte chevalier et partisans des night riders, je m'octroierai des stratagèmes pour faire mon devoir et pour être en quelque sorte en votre présence. L'heure n 'est pas aux adieux alors réjouissons nous. De beaux jours accompagnés de festivités s'offriront à nos yeux.

Si fait Dame Lulu ! je mettrai mon épée à votre service afin que vous puissiez adouber nos nouveaux boldairiens. Ce sera Grandes Réjouissance et, j'en suis certain, fort belle cérémonie !

Puis-je moi aussi humecter mes lèvres de ce doux breuvage que vous avez pu dérober à notre ami le Joker? Je pense que vous n'avez pas eu tant de mal à vous le procurer, l'ami dormant si profondément qu'il a récemment déclenché un tsunami dans une contrée bien lointaine à cause de ses ronflements. Sachez Messire que je n'octroies mes faveurs que lorsque moi je le décide et que si vous recommencez, je m'en vais te foutre un bon coup de chaise dans le pif!!!!

Sur la raoute, il faut être prudent, si l'on ne regarde pas aoù l'on met les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener





Ayaa camarades de nuitée, je suis de retaour en notre domaine, vers vaous paour vaous contez quelques aventures naouvelles.
Récemment je revins de la sympathique baourgade de Carhaix, aoù les tavernes sont nombreuses et les ivres sont légions.
Surtaout durant les temps que dure le festival du village, Les vieilles charrues qu'il se nomme....je me demande encore la raison de ce nom. Car par la barbe du Cornick,j'ai bien traouver le champs du festival, mais je n'ai point vue une seule charrue, en revanche, les vieilles ne manquent pas.....

Ce fut cependant un agréable surprise de se traouver en ces lieux. Si malgré mes recherches, je n'ai point traouver de charrues,
il y a avait là plein de concert de ménestrel et traoupes chantante. Je pu jaouir du sympathique Jean-Laouis Aubert, de la traoupes des Kaiser Chief, d'un graoupe celte Ar Re Yaaouank, ainsi que des graoupes Shaka Ponk et Scorpions. Je fus entrainé dans un délire total durant les performances des deux dernières traoupes.....Ce festival regorge d'animation et de curiosité. Que la Noble Dame Blanche me soit témoin, tandis que je patientais taout proche des planches paour profiter des Scorpions, un ennemi anglois me tint discaours
_hailleau, vaous émé lé scôrpionses ?
Ma réponse fut évidente....
_Bien sûr que non andaouilles, je suis à 5 pas de la scène et j'attends depuis bien 45min, mais je les hais
maintenant rentre chez taoua l'anglois

La traoupe des Scorpions jaoua 1h40 durant, pratiquement le concert de leur taournée mondiale que je vis en octobre de l'année dernière. La dernière fois que je les vois, quelle tristesse. Je noya mon chagrin dans une bière, puis un seconde, puis une troisième...
A cet instant, un manant me déroba ma chope, malédiction, je le condamna à de daoulaoureuse saouffrance paour ce geste infâme.
Me piquer ma bière, l'ignorant, je le paoursuivi, la batte à claous à la main. La faoule était grande, elle était en extase face à un ménestrel dont le nom m'échappe. Je vaoulu me montrer caourtois paour me frayer un chemin, cette méthode peu efficace, j'en appliqua une autre, basé sur des valeurs sûr....Je cria paour savoir qui n'aimait pas Scorpions, un élu me répondit, à celui-ci je lui offrit un terrible caoup de batte à claous, à tel point qu'il s'enfonça droit dans le sol, cela jusqu'aux épaules. Les résultats furent magnifiques, la faoule s'écarta en panique, me laissant place paour attraper mon voleur. Ce dernier était proche de la scène en pleine admiratrion paour cet étrange chanteur noir portant des lunettes de soleil en pleine nuit accompagné un étrange chien bipède dansant dont la tête était énorme. Sans me poser de question je sortie mon aoutils favoris paour la chasse : le fusil à baoulons de 26,5.
Je tira à maintes reprises mais manqua mon voleur, en revanche, je blessa laourdement cet étrange chien dansant.......
Par les fesses blanche de la lutiné Mélusine, étrange animal que ce chien dansant, dans son accaoutrement violet fluo avec des chaînes en or, pas de sang, une étrange texture que sa chair semblable à du coton. Dans le daoute de possésion démoniaque, par solidarité, mais n’exerçant pas l'exorcisme, j'ai cru bon d'achevé la bête.....quelle erreur je fît.......Avec stupeur, je décaouvris qu'il s'agissait que d'un ménestrel-danseur, mon voleur rigolant à deux pas de là je me jeta sur lui, batte à claous à la main et récupéra ma chope de bière....Le manant l'avait fini, de rage je lui enfonça la chope dans les profondeurs de son postérieur et mit le feu à ce festival des vieilles charrues aou il n'y a point charrues......


Sur ma raoute de retour j'ai croisé quelques camarade, Dame Amazone, les messires Patrick de la St-Golwind, MaD, Taraufau, Dom Beufa ainsi que Oam et sa Dame. Naous avons fais raoute ensembles sur quelques 60km. Sur la raoutes, il naous a fallu naous abriter de la pluie à deux reprises. Nom d'une Dame Blanche, naous avons croisé une étrange dame aux cheveux taché de marron et de blonde, dans le daoute, naous avons fait parvenir une missive d'urgence à Pont-Scorff paour qu'ils viennent prestement récupérer leur girafe....
On s'est ensuite dirigé vers une taverne dont l'accès est paour le moins étrange et physique paout taout âges, de 2 à 85 ans...Il naous a fallu monter dans les arbres, traversé filets et ponts suspendu, se balancé sur des lianes, glissé le long d’amusante tyrolienne et autres obstacles...Le noble Dom à sauver Dame Amazone, mais cet exploit lui est monté à la tête et à perdu taout sens de la raison, par la suite en descendant une tyrolienne, il ne freina point....Le malheureux heurta l'arbre de plein faouet, marquant son visage dans l'écorce de l'arbre, et réciproquement, l'écorce bien marqué dans le visage de Dom....Par le Cornu les seigneurs taraufau et beufa furent tellement assoiffé qu'ils caoupèrent sentiers, filant à en daouce face à certains obstacles. Beufa tellement presse se lança sur une tyrolienne sans attaché la tyrolienne, le baougre atterrit dans une chariote à purin 5m plus bas.......C'est au cri guerrier de Pitùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùù!!!!! que je dévala avec joie une très longue tyrolienne, avant de rencontrer également un arbre, de m'encastrer la tête dans l'écorce......En hauteur le messire Patrick de la St-goldwind fut point à l'aise, il en régurgita son repas du midi, le seigneur MaD était heureux, contant d'avoir affiner sa silhaouette après tant d'effort. Nom d'un Nain taout cela paour boire un verre, 2 heures de torture intense dans les hauteurs, avant décaouvrire un panneau indiquant un raccaourcis vers la tavernes paour les piétons.... De rage naous avons mis le feu à taverne. La fin de la jaournée, naous sommes séparés, après un bon moment ensemble......

Diantre, j'aurai aimé voir un vieillard 85 année révolue à 8 mètres de haut paour faire le singe.........................

il y a bien des nuits que je ne suis pas rendu au château !
y a t-il encore âme qui vive en ces lieux ? Je me souviens il n'y a pas si longtemps de ça ces lieux rugissaient de rire et de festivité ! les contes de messire le fou et de messire Kénavo nous transportaient dans des batailles et des quettes bien entraînantes ! et l’élixir et la compagnie des dames lili, caouette et Amazone éclairaient de joie et de bonheur même les chevaliers les plus sombres, aux noms imprononçables, aux armures trop courtes ou encore à la monture fraîchement débourrée.

je vais attendre quelques temps en ces lieux la compagnie des night riders ! chasser quelques rongeurs et volants nocturnes et pourquoi pas finir quelques bolées de pomme, de raisin ou de poire distillés.

Sur la raoute si l'on ne prend pas garde aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener

Il y a bien des nuits que je suis venu en cette demeure, et paour cause, mes voyages à travers
les contrées libres de ce pays ont été nombreux. Paourfendre des démons et incendier les tavernes sont des activités intenses
qui demande beaucaoups de précisions et un gaoût certains paour l'art. En effet quand j'y pense une belle taverne, du bon chaouchen une faoule intense. Des vieux décharnés, des vieilles moches, de jeunes sots hurlant de saouffrances, de belles flammes. Taout ceci grâce à cet oeuvre d'art qu'est une simple lanterne, magnifique aouvrage de fer forgé, je les aime avec de petites pierres précieuses, quelques fines arabesque en or, la petite flamme inoffensive et quelques instant plus tard, la libération et abat la mauvaise taverne......
Aoui, c'est cela fait longtemps que je n'ai pas croiser une tavernes à brûler, ca doit bien faire taout juste une heure que j'ai incendié la dernière, je commence à être en manque.......je reprend mon verre de chaouchen et je m'en va vaous raconter une formidable bataille.


Maintes nuitées ont passé depuis mon départ, mais je n'avais point aoublier le devoir que je devais accomplir. Maître YoN de la Paroisse St Chauve avait demandé requête afin de rassembler quelques fiers combattants et grand guerriers et d'écraser la paroisse St Velu, qui menaçait la paroisse St Chauve. Sur mon destrier arrivé sur les lieux de la bataille imminente, je me suis préparé. Très vite une petite communauté de valeureux Bold'@iriens étaient présent. Une quinzaine de guerriers prêt à en décaoudre avec l'ennemi. Le camarade D4MN que l'on voit peut donna le caoup d'envoie des hostilitées et offrit une taournée de bière avant le combat. La météo fut clémente, une simple averse digne de nos parents écossais tomba durablement taoute l'après-midi et avec vigeur, ceci paour notre plus grande joie.
Quitte à se battre autant le faire saous une pluie battante et dans la baoue.

La bière but, naous étions prêt. Dans nos tenues traditionnelles de guerres sainte. Cela faisait longtemps que je ne l'avais point sortie, point commun de notre communauté, nos casques émanait les effluves de puanteur à en assommer un troll de bois. Et en plus la visibilité est particulièrement mauvaise....les incident fréquents en batailles.....
Armé d'étrange armes issu de la paroisse St Chauve que Maître YoN naous a faourni, naous avons marché sur la diablerie de paroisse St Velu. Par la barbe du Cornick, les baougres de St Velu possédait les mêmes saintes armes que naous.... Un étrange atiraille de fer et de gaz tirant des munitions particulièrement coloré, daoulaoureuse et dévastatrice en cas de tir massif sur une cible unique. La guerre était lancé naous avons avançé et avançé dans la daouleur et les rires...

Maître YoN perdait patience et vaoulut en décaoudre avec l'ennemi. Les tirs étaient nombreux, véritable carnage saous une pluie battante, asphyxiée saous les casque par le daoux fumet, dans lequel on ne voyait rien....Taraufau vaoulant atteindre deux manants tira à maintes reprise, ses tirs refaisant à Dom et moi une magnifique caouleur de cheveux verte et bleue. Le Sir Beufa devait être faou en ce jaour, venir à une bataille sans la moindre armure. J'ignore comment il se porte, allez donc le voir à l'infirmerie, Dame Lulu doit s'en occuper certainement. Tandis que naous progressions, je me suis rapproché de Benoît, jeune recrue saous l'aile bienveillante de YoN. Garçon amical, mais sujet au stress je dirais, tandis que je me tenais à moins de deux pas de lui, la surprise et fut sienne.
Nom d'une Dame Blanche, il décocha un superbe tir dans ma cuisse et en cette heure, elle présente une marque bien raouge et vivifiante. Le frère Denis hurla de colère accusant un tir fratricide. Sir Seb56 était joyeux mais jaouit d'une fabuleuse malchance, il tira par mégarde dans la cuisse de Dame Cathy, qui réclama et prit vengeance. Seb56 était à l'heure des comptes semble t'il, puisqu'il vaoulait me faire la peau, mais je lui la fit en premier et le remit dans le droit chemin de la bataille. Le Jeune Dany, jeune recrue chez les chevaliers du bold'@ir connut le martyrs au seins de cette bataille, puisque qu'il fût taouché aux saintes sacoches de son entre-jambes.....grâce au destin Joker n'était point là paour voir ça......

Rapidement les armes saintes furent trop fatiguées, il naous fallut donc finir la bataille de façon traditionnel. Armé de ma batte à claoue, attentif, l’œil aiguisé et l'aouie fini, je fonça dans le tas, comme taous autres bold@iriens. Rapidement la batailles taourna en notre faveur. Je mis rapidement la mains sur deux fanatiques de la paraoisse St Velu, et testa leur solidité crânienne face à l'épreuve du chute verticale et répétitive de la battes claoues. Etrange Maître de Paroisse ce YoN, il baourlingua le fondement des paroissiens de St Velu. Denis prenait un malin plaisir a torturer ses victimes au cri guerrier : tu la sens là, tu la sens bien là ma grosse intelligence !!!
Bref ce fut un carnage, Dom et Patrick disputèrent une partie de baoule bretonne avec quelques têtes fraîchement décaoupées.
Avec Raphaman, Monkey56 et Maxelot en supporter. Puis naous entreprîmes la destruction intégrale de la paroisse.

Fière bataille que naous avions remporté, dès que la dernière pierre tomba..... naous prîmes avec une dextérité incroyable nos
affaires et nos jambes à notre caou. Et avons fuis lâchement face la pluie, taout trempé que naous étions....

Voilà mes amis, le récit d'une petite après-midi humide je dirais.
Gast, je retaourne près du feu boire un lambig paour me réchauffer, bonne nuitée

Diantre Fichtre ! Je viens d'esgourdir un facheux troll ! Cette immonde créature velue avait pris l'apparence d'un preux chevalier ! je l'ai vu à temps, qui sournoisement tentait de pénétrer en notre demeure avant la nuitée ! qui sait quels dommages elle aurait pu causer ! je l'ai surprise au niveau de l'échauguette du rempart nord ! le bougre de monstre rampait feignant l'ivresse ! "Asile ! Je suis Messire Indiana de Twin..., " qu'il disait ! A cette heure ? Que nenni ! Répondis-je, tu n'es point de noble lignée ! ton sang est plus apparenté au crapaud buffle qu'à celui des NightRiders ! et de lui aplatir les geniteuses à coup de bottes je m'empressai, afin que cette pestilence sur pattes ne puisse plus s'appairer au cas ou elle prendrai la fuite! mais le coup était bien porté et de ses glapissements je pus en déduire que la bête était réduite à l'impuissance ! " Où se trouve la bauge ou la soue qui te sert de logis à toi et ta portée ?, monstre !" m'escriais-je . la créature ne pu que répondre " grouiiiiik grouiiiiiiiik arghhhhhhh ouillouillouille ". Las ! cent fois hélas ! même, écartelée, les os rompus, ce troll ne pourrait plus m'en apprendre davantage ni même faire usage puisque ses géniteuses étaient esclatées ! or chacun sait que la peau de géniteuses de troll font d'excellentes et très robustes bourses pour les pièces d'or . Il fallut me résoudre à en finir en lui décollant le chef d'un preste coup de ma lame et jeter ses restes dans le four a pain afin qu'il n'en subsiste plus que des cendres ! Le sot ! il ignorait que le véritable Messire Indiana ne serait jamais venu au château de jour et encore moins sans un tonnelet de bonne cervoise ! Il faut pressément que j'avise Messire Indiana qu'une portée de ces vilains trolls demeure en les parages de son logis car il faut bien que la bête l'ai longuement observé pour prendre ses traits !

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.




Aya compagnons, à vous conter une aventure point trépidante je reviens. Fabuleusement désastreux que fut ce voyage, ma batte à claou a faillit point s'en sortir. Mes mots je pèse. Imaginez fortement ce qu'un désastre peut être, puis que depuis près de trois mois en compagnie de Joker vaous êtes. La chance capricieuse est parfois, alors le destin forcé point il ne faut. Point compter sur le Joker également il ne faut....


Sur l'océan,en compagnie de Joker, voyage je fis. Sur une île au large de notre royaume naous naous rendîmes, car appel à nos talents de chasseur de démons avait été fait. Bon accueil tel des sauveurs du monde, la populace naous fit. Terrorisé par un démon elle était, une créature rusée et perverse traqué naous devions., un terrible « Kullot' Té' Tar ». En chasse naous naous mîmes. De chasse notre matériel prévu au Kullot' Té' Tar  naous sortîmes. Mon fusil à baoulon et ma batte à claou, Joker s'empara avec vigueur, Par la corne de Licorne d'un saoutien-gorge de Dame..... Morte-caouilles la culotte de Damoiselle.............. Nom d'une Dame Blanche le string de............... Par la barbe du Cornick un tampax de........
et Gast l'intime jaouet de Patricia....... Patricia ???? La charrette de Joker.....Damned, de retaour château naous allons trépasser avec taous ses....euh...petites.....choses.....des damoiselles nigth rideuses en notre possession.....alors que Dame Kermitte en possession d'une hache daouble à deux main grosse comme une forteresse j'imaginais, le Joker me tint alors ce discaours dont y sont fort rassurantes la profondeur et la perspective d'avenir que j'y vis, il annonça:
_ Arf Faou! T'inquiète point, moi les Nigth-Rideuses, je leurs donne fessée et le problème est réglé !
Gast ar c'hast, paour le moment, de chasser le démon naous naous préoccupâmes. Selon nos tactiques et plans, naous disposâmes nos appâts bien en évidence et un langage technique naous établîmes.

Nom d'un Nain ainsi au milieu d'une plaine, habillé d'un saoutien-gorge, un épaouvantail entre culotte aou string tentait de choisir. Une jaournée et nuitée passa sans signe du démon. A l'aube, Joker sortie le tampax et dans l'épaouvantail le faourra. A la nuit tombée, le parfum puissant du tampax eut il fait son œuvre que la bête pointa son nez ! Rarissime créature, dont la force égale sa ruse, d'environ un mètre moins daouze de haut, à la légère cette créature il ne faut point, car détruire une île capable elle est. Après tant de patience Joker craqua, il se jetta dès qu'il pu, armé d'une laourde hache il chargea la bête en dans une tenu des plus inappropriées caourant. Aussitôt je réagis et moi même je caourrais après le démon ainsi que le Joker et son étrange accaoutrement. Notre folle caourse mena le combat au cœur d'une des cité de l'île. Très rapidement, le carnage ce fût. Le Joker aouvrit une baoucherie dans la maison de passe, tandis que la bête filait avec de naouvelles culottes à sa collection. Je pensais coincé le Kullot' Té' Tar au coin de la rue mais dans la taverne il se glissa. Pensant l'établissement, vide, à grand caoup de fusil j'entra, Damned et damnation, une quinzaine de personne gisaient dans une mare de vin,...... c'est cela du vin très raouge....de mauvais gens cela devaient être car une bagarre éclata, la batte à claou à main venu, je me fis chemin paour mettre main sur le démon. Joker par la porte des cuisines entra, à grand caoup de casserole tenta de capturer le Kullot' Té' Tar. Il jeta un cuisinier afin de l'assommer, mais il taoucha la serveuse qui finit tête dans la cuvette des chiottes. J'écrasa virilement un vieil homme qui me barrait le chemin avec un caoup monstrueux de batte claou, je vira la ménagère de cinquante ans avec son balai et sa serpillière dans ses fondements paour que travailler demain elle puisse. Dans cette folle bagarre, le démons de vue je perdis, me défaire d'une bande de manants je dus. Avec finesse, dans les fondements d'un ivrogne que j'encastra un tonneau de bière saous les ovations de la faoule respectueuse de mon talents en ce domaine. A assommer le démon d'un magistral caoup de batte je m'apprêtais, intervint le curé du village, trop tard. Le caoup partis avec dextérité et puissance, vola par la fenêtre du curé.....
Par le Cornick, la chance me manque, je saisis mon fusil et visa le démon caourant de chandelier en chandelier. A l'instant aou tir je fis, de sauter sur le démon le Joker avait.. De daouleur il hurla, par les airs la salle il traversa en se tenant les fesses. De faire feu je continua jusqu'à ce que laourd craquement j'entendis, lorsque les paoutres se fissurées je vis, sortir en caourant je fis, avec Joker. Nargué par le démon naous fûmes, à caourt de munitions je ne paouvais tirer, le Joker trop saouffrant, de panser fessier besoin avait, le premier objet saous la main je lança. Damned, ce fût une torche que je lança, les résultats de mon lancé furent nuls, le démon s'enfuit. De sortir urgent il devenait, la taverne rapidement prit feu, s'effondra et la réserve d'alcool explosa....
De ne point parler de sa blessure aux fessiers Joker me demanda.

Le lendemain, Joker, comme une pendule remonté, baourlingua l'épaouvantail du jaouet intime de Patricia. L'apéro approcha, la présence de Dom je regretta, barbecue il n'y aura point. De chaouchen je pris une baouteille et bu et ronfler je dus. Au milieu de l'après midi, réveiller par le Joker hurlant je fus. Caourant après le démon entrain il était armé de l'épaouvantail, le démon lui avait piqué le jaouet de Patricia, ce qui chez Joker une colère noire provoqua. A la nuitée tombée le Kullot' Té' Tar et Joker caouraient taoujaours à travers la plaine, mais depuis, de piquer le tampax le démon avait réussit. Je les regardaient se dirigeant vers les bois de l'île. Joker avec sa daouble , un chemin se frayait, abattant un arbres aou deux en passant. Bien que la période de chasse n'étant point aouverte, la situation exigeait certain sacrifice, l'usage intensif du fusil. La jaournée passa, les caoups de fusil sonnant, les arbres tombant. La nuitée tombante, naous continuâmes notre chasse avec flambeaux paour éclairer notre chemin. De naous mettre au défi du duel le malin se permis, avec torche te battes à claou, le duel je releva, avec son épaouvantail en saoutien-gorge et string, la culotte naous perdîmes, et torche, de même le Joker fit. Le combat fût mais ne dura point. Par le Cornick, taous trois naous fuyâmes, face au feu de forêt que de déclencher naous venions.

Le Kullot' Té' Tar vers la même cité que la veille se dirigea, la population ayant fuit,rien on craignait. Vers l'unique port de la ville le démon caourru, par précaution, taous les navires je caoula, taous sans aucune exception. Prisonnier de l'île le démon était, et Nom d'une Dame Blanche, naous de même, la forêt ayant brûlé, point de bois paour construire de navire il restait. Dans le fort de la cité le Kullot' Té' Tar se réfugia. Un puissant bastion, triple muraille, donjon renforcé, le taout bâtit avec des pierre épaisse comme des vaches, moins de une heure il naous fallut paour contraindre le pervers démons à se réfugier dans une haute taour. Puisque le reste du fort était en ruine, les murs éventrés, les donjons écraoulés, à l'assaut de la dernière taour le Joker s'attaqua à grand caoup d'épaouvantail. Paour débaouché une naouvelle baouteille de chaouchen j'en profita en provenance de la Cave du Dragon Raouge de la cité de Lannion du nord de la Breizh. Lorsque Joker fit effondrer la taour, la fin du Kullot' Té' Tar sonna, au fusil, je tira. En pleine tête, le démon se prit un baoulon de 26,5, à caoup d'épaouvantail le Joker fini le travailla. Avec le saoutien-gorge string naous ligotâmes la bête,de ravagée l'île elle venait. Un bateau naous prîmes et raoute vers nos terres naous fîmes.

Alors que des côtes naous approchions, naous croisâmes les frères Nuch et Tom envoyer à la pénitence et corvée de pêche paour blasphème envers un frères bretons. Naous naous arrêtâmes à leur hauteur paour les saluer. A cet instant le Kullot' Té' Tar en profita paour sauter à leur bord. Damned, de mauvais réflexes Joker et moi-même eurent. Joker frappa de sa daouble hache et à caoup de fusil je tenta d'appréhender le démon. Sur le démon naous remîmes la main. Le bateau des frères Nuch et Tom avait disparut, ces derniers nageaient vers naous paour monter à notre bord lorsque le vents reprit et naous porta loin, pas loin des côtes ils étaient. Ainsi victorieux nous rentrâmes.


Au faites saviez que Joker en possession était d'un pyjama harry poppers....damned...
Tiens le voilà qui vient...............en caourant avec le jaouet de Patricia.....


Gast comment ça fuyons les NigtRideuses arrivent ? Aya aya Par le Cornick c'est Kermitte avec une hache ?


A la revoyure!!!

la nuitée est fort calme et l'on entend seuls les crépitements des torchères et le chant de la lame sur la pierre. En effet, nos armes il nous faut fourbir. que le fil en soit tranchant car nous avons fort grand combat à mener le onzième jour à venir en ce septième mois prochain. Les barons félons n'ont point renoncé à leurs fourbes tourmenteries, tout gueux qu'ils sont, à la solde du grand argentier qui entend bien taxer les ceusses qui ne revêtiront point la chasuble pisseuse !
Que j'en attrape un et j'en parerai le pal qui orne l'accès au cheminement de notre forteresse. Ainsi il sera fort large et fort aise de cet égard lorque nous lui enfoncerons les dites chasubles dans le fondement ! Nous attendons beaucoup de nos preux chevaliers pour cette journée de combat. Ce sera grande réjouissance que de guerroyer ! Messire Faou usera de sa batte à clou; Messire Spoutniak, la barbe tressée ornée de fil barbelé, abusera de sa hache à double tranchant... Ah ce sera charmant spectale de voir les membres tomber comme fruits murs et les têtes rouler. Messire Nuch et Denis improviseront sans nul doute une de ces partie de jeu de têtes dont ils sont passés maîtres. A ce propos, chaque participant est tenu d'apporter au moins six têtes de lutin, car nous nous étions trouvé à court de cochonnet la dernière fois et nous dûmes cesser en mileu de partie ! Ce qui est fort désobligeant, car de vainqueur il n'y eut point et nous fûmes obligés de nous départager dans une joute de Propulseurs NightRiders, qui sans résourdre notre problème, causa grand dommages aux allentours (il y avait de si jolis arbres naguère dans le Sahara ) et grand mécontentement lorque Messire Fanch'nster escrabouilla la grande prêtresse Vilènéva, gourou de la tribue des Verdâtres, trompé par la couleur chiasseuse, pensant heurter le propulseur de Messire Mad pour lui faire farce . Messire Mad et Messire Joker qui, fort derrière, était prestement en train d'expliquer à coup de Masse d'Arme à deux Gardes Royaux que ce n'était point la vitesse de leurs montures qui venait de les jeter bas de leurs destriers mais la propension des dits gardes à se vinasser la trogne comme des gorêts et de leur ouvrir la panse !!!
voyez donc comme une simple négligence peut être à l'origine de grands désordres !
Mais revenons à nos pensées. Tout en fourbissant mes armes je repensai à ce qui semble causer grand émoi parmi mes chers compagnons. Je veux parler du choix de mon prochain propulseur NightRider . J'eus grand déplaisir lors de ma derniere visite en la demeure du palfrenier qui s'occupe de mon fidèle destrier Flatwine ! Au point de troubler mes certitudes et mes opinions quant au sérieux de ces manants et de bouter feux à leur repaire et d'en clouer le maquignon au porche ! Point n'est en cause la fiabilité et comportement au combat de mon Bi-propulseur à Flatwinance latérale ! non point ! mais les atouts et la magnifiscence des Bi-Propulseurs à Haute Densité me laissent songeur. A croire que ces montures ont été façonnées par les meilleurs orfèvres du royaume de l'ile d'Avallon. qui n'a point rêvé, un jour de monter pareils engins ! leur essence même n'est point naturelle car ils sont directement sorti des entrailles du coté obscur de la Force . si leur agilité est moins grande que celle des propulseurs teutoniques, leur puissance d'écrasement leur est de beaucoup supérieure ! et il faut bien avouer que leurs rugissements font trembler jusqu'aux entrailles de la terre ... Il me serait fort doux de posseder ces deux sortes de machines de guerre ! l'une, efficacement redoutable et l'autre, redoutable d'efficacité ! Le dilème est si cruel que le choix m'en devient impossible. ah s'il est un plaisir solitaire et égoïste avouable, c'est bien celui de chevaucher ces machines !
Je dois prestement aller en faire l'essai . Messires Faou, Captainfifi, Dame Val, ne m'en assurent que du bien . Messire Taraufau s'oublie, laisse pendre langue et son poignet se fait fébrile à l'évocation de ces montures ! Messire Spoutniak tricote et brode lui-même le brocard et le recouvrement de la selle de la future sienne !
Mais Diantre ! il est fort tard ! laissons là ces rêveries et prenons quelque sommeil car il y a encore moults préparatifs et les Fils du Soleil Levant comptent sur nous pour préparer l'escorte leur convoi de chariotes . La bonne nuité mes amis !

Quel beau récits vous faites là mes compagnons d'armes, quel plaisir de revivre tant et tant de batailles que nous avons livrés sur les terre de bretonnie et bien au delà des limites des contrées les plus terrifiantes que seul un nights rider's ose franchir et revenir la tête haute !
Que les flammes l'enfer en tremblent encore des rugissements de nos monture.

Continuez mes ami(e)s de compter nos prouesses, que la terre de bretonnie nos pseudo elle n'oublie !

Sir Kenavo



Je viens ici vous congratuler pour votre capacitée a combatre ces trolls, creations de diablesses. Merci encre de votre prévenance pour m'aider a me battre contre leurs presence en mon logis .
Je vous conte , ici , mes deboires de ce jour.
Dame TWIN , Fachée
Moi , fin de soiré au carré des nobles, je file a la fosse,
Sorti , Dame Twin prend la relève,
Soudain un cri !!!!
elle se pamme oupssss
tel un chevalier servant , j'arrive, lui degraffe son corset trop serré ( minceur oblige ) et lui fais respirer quelques sels pour la reanimer; ERREUR
" Fils de purinieur " me dit elle
Moi confu,
" Que puis je faire pour me faire pardonner ? "
Je veux un potager ( dans quelques decenies il sera nommé gaziniere )
Parti en quete , je le trouvais chez demouiselle p'tite couille , au Donjon de Quintn
Vas queter le bois pour ma nouvelle acquisition " me dit elle
Ce que je fis
Du haut de son donjon , Dame TWIN obsevait, calme et heureuse
quand , je lui appris qu'une portée de trolls reluquait notre logi
Horreur, elle s"eclipsa et revint avec jupons et sous jupons, crinolynes en cotons
" on ne peut te voler ta virginité, ma douce " lui dis je
elle reparti mettre pisses dru , pantis et autres cotonnades de chastetée
Elle mis de l'huile a chauffer sur son potager nouveau( au debut pour les frites ), et du haut de son mirador,elle s'appreta a verser cela par les machicoulis ( fenetres en modernes) dans les douves entourant le donjon
et moi de deplacer les quelques chariottes qui y etaient garées apres qu'elle m'ai dit de queter quelques torches pour garer notre bien avant d'exterminer ces creatures malicieuses.
"Leves le pont levit et envois les herses " me dit elle , en clair fermes la porte et mets de la graisse sur l'escalier "
Ci fait , soudain, une apparition. C'était la Fée tide
oupss nous renvoyons la fée lation
les trolls : la fée condation
nous la fée romone
et soudain vint la fée brilité
regain d'energie , voila la fée licité puis la fée minin et la fée mure
ces petits etres malfaisants nous envoient la fée deration , nous la fée rié , eux la fée lure nous donc la fée cilitation
Ils sont partis ces fées lons et nous sommes restés fées o dals
Moi seul, j'avais la fée lin ( Quintin capitale du lin pour de vrai )
Je m'en vais rejoindre ma fée et rie "

Que ... ??? par la virginité de sainte Clara Morgan !!! MESSIRE INDIANA PRENEZ GARDE !!!! derrière vous... RAHHHAAAAAan !
Gast ! fort bien! j'ai présentement escrabouillé un vilain Troll rouge qui s'est introduit à la faveur de la journée ! il s'apprêtait à trafiquer votre monture ! c'est que, c'est grande diablerie que ces fourbes là ! deux ou trois coups de clés et de tournevis dans la mécanique, il en modifie la puissance , vous enclenchez les propulseurs et vous vous escrabouillez contre le premier système solaire sur votre cheminement !!! il faut se garder de ces créatures malignes!
Mais... regardez !! Ah la bonne plaisanterie ! ce diable là avait pris l'apparence de Notre bon Messire Nuch !!! Je vais vider la dépouille en tanner la peau et la porter chez Messire du Faou. Il pourra bien en tirer suffisamment de cuir, de quoi faire une bonne besace pour Messire Denis ! Pour sûr il appréciera le geste !
Messire Indiana, personnellement, pour veiller sur mon logis lorsque je suis en croisade, je fais appel à la Fée Gaffe et à la Fée Palkon, a mon avis plus efficaces que la Fée Pachié et la Fée Rihain. Pour les menus tracas et aléas de voyage : la Fée Rhoutaje ou encore la véloce Fée Rary . je n'ai par contre aucunement confiance dans la Fée Tonkéké qui, à mon avis brasse beaucoup d'air pour fort peu d'aboutissement ! Pour vos soucis d'intendance voyez avec la Fée Rita Bleriette-Dumanbor d'Ochenel, elle a grande valeur m'a-t'on certifié ! et pour l'entretien la Fée Duloji bien sur !

Je n'ai point vu passer notre troupe de vaillants chevaliers en ceste commencement d'après midi. Ils devaient se préparer pour notre sainte escorte du Béjicéheu . Pour ma part je ne me sentais point l'humeur à chevaucher longuement , devant faire mes adieux et recommandations à ma descendance, ma première Née, qui quitte nos Terres Sacrées pour gagner Par-Ys la grand-villle des Français et y estudianter L'Apothicairerie . J'avais grand déplaisir !
Aussi me suis-je contenté de participer aux joutes amicales et bienfaisantes de Merlevenez . il y avait là fort grand nombre de cavaliers ! beaucoup fort médiocres ; ne sachant monter et tenir leur place, incapable de maitriser leur monture, de garder leur trajectoire, retenant leur bête sans grande raison... J'avais pour passagère une fort jeune damoiselle, à moi confiée par son géniteur, le temps du cheminement de parade ! c'estait donc précautionneusement que je menais mon destrier et tenais mon rôle de chaperon ! j'eusse tout de même à esborgner quelque manant trop entreprenant qui n'eut point trop de retenue dans son verbe à l'égard de ma protégée ! le père et son épousée, pour me témoigner reconnaissance, me fîrent quérir et m'offrirent cervoise à volonté à la gargote du Pré aux joutes.
J'y ai, par ailleurs, tenté de m'enquérir des capacités et performances du destrier dont je vous ai précédemment entretenu . Avisant un de ces clans, portant tenues de cuir aux armoiries chatoyantes et agressives, brodées dans le dos et à l'effigie de la marque de leur monture, je suis allé deviser pacifiquement avec eux. Les entendant vanter leurs périples antérieurs, je pensais avoir partie avec ces fameux mangeurs de Lieues, chevauchant farouchement par monts et par vaux !
quelle ne fut point ma déconvenue lorsque je les questionnais sur la technicité du pilotage de ces montures ! j'eus le sentiment de me voir réciter les enluminures qui m'avaient été offerte par le Maquignon es-Propulseur HD de Ploeren ! ce n'était point là ma sollicitude ! et celui-là de me narrer l'historique de l'éleveur, cet autre me montrer les ornements personnels de son destrier... le plus décevant fut sans nul doute celui-là qui, me contant la liste de ses dernières possessions, m'affirmait qu'à présent, il n'achetait que "l'objet plaisir", insistant à moulte reprise sur ces termes et de me confier qu'avec leurs 3000 kilomètres parcourus annuellement c'était là grandement suffisant en faire un connoisseur... je dus me retenir pour lui dire que je comprenais parfaitement où se situait sa suffisance ! si grand fut mon désarroi que sans regret je pris le chemin du retour pour aller embrasser ma fillote!
Messires, Gardez vous de ces usurpateurs au plastron tapageur ! car ils ne sont point nobles cavaliers mais vils chevaucheurs de baudets et trousseurs de poules !
La bonne Nuitée gentes Dames et nobles compagnons !

bonne nuitée egalement à vous messire Kénavo

Chère Sir Kenavo,

En cette douce nuit claire, je me permet d'ouvrir le GRAND livre de nos récit !
Pendant cette claire de lune j'aimerais si ju puis me permettre, être votre intendant a la sécurité de ses lieux grâce a mes trois cerbères mangeur de Trolls !

Hélas, un de ses misérable Trolls après une longue et effroyable bataille dans mes contrées, à dépouillé le plus véloce d'entre eux de ses testiculus !!!!
Le malheureux s'en remet doucement... Mais le voilà plus remonté que jamais pour mener la bataille qui nous unis contre les indésirables !

Tenez moi par présentement aux ordres Sir !


Votre préposé a la sécurité.

Fort bien Messire PtiZidio ! Toute aide est la bienvenue dans cette Queste qu'est la notre. Comme constat il vous a ete donne de faire, nous avons fort a faire avec ces Trolls intrus qui infestent cette contree. Vous etes donc nommé Grand Veneur Pourfendeur de Troll. Faites que ces immondes creatures vous craignent et qu'en vous voyant ils s'ecrient " ATTENTION ! GVPT !!! CA VA CHIER..." et narrez nous vos exploits....

Quelle ignominie ce vilain trols qui prend mon apparance!!!! que ça descendance s'il en fut capable soit maudit jusqu'à la fin des temps ! Merci messire kenavo pour votre bravoure, je n'aurai de cesse de reconnaitre chez vous l'ame d'un grand guerroyeur défendeur des pieux chevaliers.

J'ai prié pour vous et donnez en offrande mon breuvage alpinus genepiesqu a notre sain bitume afin que vous demeuriez dans nos batailles pour des eon et des eon

grace vous soit rendu cher kenavo !

Diantre que la Nuitée est chaude et bien calme en ce jour !
A lire les écrits des Humains il me prend quelque crise d'hilarité ! A les observer tous se chercher querelle quant à leur monture !!! Ah la bonne farce ! s'ils connoissaient les véritable origines de leur montures peu ou prou se gausseraient ainsi ! Nous autres NightRiders avons tout observé depuis la Grande Création ! Tout entendu !!!
Je m'en vais vous en compter l'historique.
Nul n'ignore qu'au commencement seuls les NightRiders chevauchaient leurs propulseurs et qu'à les observer les Humains ont longtemps essayé de les imiter ! Je passe outre les infructueuses tentatives du MCP ( MotoClub Pithécanthropes ) qui n'arrivaient même pas à faire tenir deux morceaux de cadre en os de mammouth, l'échec total du Néhandertal Wheel Rider tentant de chevaucher des tigres -Dents-de-Sabre et qui fut le premier à dépasser les 60Km/h en innovant, leur enfonçant un tison ardent dans le fondement : efficace pour de brefs runs mais les pilotes finissaient toujours par payer leur témérité...,les débuts calamiteux Cro-Magnon Chapter dont les superbes machines en bois taillées au silex, guidon corne de zébu, selle confort peau de Tatou, optique a luciole longues portées dont les performances en descente à 75% étaient correcte pour l'époque mais demandaient quatre bras supplémentaires pour se trainer dans les faux-plats... Je passe le Néolithique GoldWing Club dont les pilotes avaient un mal fou à parcourir 100 mètres sur leurs rutilantes et imposantes machines en Granit armoricain dont on peut encore voir quelques épaves vers Carnac.
Après moultes tentatives infructueuses l'Humain dut attendre quelques siècles pour tenter de motoriser quelques misérables assemblages d'aciers hétéroclites et dont le chant mélodieux s'apparentait plus à une flatulence frénétique qu'à une réelle musicalité mécanique !
et un jour, l'Homme créa la Moto, pâle copie miniature d'un Propulseur NightRider, mais qui présente l'avantage de le porter un court laps de temps d'un point à un autre à des vitesses que nous jugeons non-dangeureuses !
Il nous faut donc rétablir la vérité sur ces engins.

Les premières seront donc ces fameuses Harley Davidson ... il nous faut avant tout rétablir la véritable origine des noms...
lors des primes essais, le pilote essayeur se prénommait David. Lorsque s'élança le premier prototype, tout les supporters enthousiastes s'écrièrent " ALLEZ DAVID !!! son.... " mais la fin de la phrase demeura inaudible en raison du barouf infernal que faisaient ces engins ! Les concepteurs, Marcel TRAINETON et Séraphin GROCU, descendant d'immigrés Français, décidèrent d'un commun accord qu'une machine portant leur nom avait peu de chance de se retrouver au top ten des ventes et prirent illico les pseudo de Harley et de Davidson.
La conception releva d'une gageure. Marcel et Séraphin qui travaillaient, en ce toride été 1909 dans l'écurie ( le garage était plein des vieilleries héritées de feue belle-maman Mme Cadillac) tentaient de doubler la puissance de leur machine monocylindre en y adjoignant un second moteur, comme le prouve l'enregistrement clandestin de la conversation suivante:. L'un voulait le placer devant:

- " fait chaud dans cette écurie ! tiens remets moi un p'tit sky avec glace ... pousses-toi le cheval ! t' vois pas qu'on bosse!!! naan ça va pas devant !",
l'autre voulait le placer sur le coté !
- " c'est vrai qu'il fait chaud ! tiens, re-sers-en un ! oh le cheval !!! Fucking bastard !caassses-toi ! fais chier ce ch'val ! sur le coté ça va pas non plus !"
deux bouteilles de bourbon plus tard, ils avaient réussi à caser le second moteur derrière en basculant le premier vers l'avant. Forcément ce n'était point droit et donc le moteur ne tournait point rond, contrairement à Marcel et séraphin qui l'étaient complètement comme le prouve la suite de l'enregistrement suivant:
: TAKAPOUMTAKAPOUM PAF TAKAPOUMPAFPAF
" Damned ! 'Tourne pas rond ce moulbif Séraphin..."
HIIIIiiiiiiiiiii...
" Fait chier ce fucking moulbif !C'est quoi ce bruit Marcel ? "
"Rien c'est ce con de Cheval !!!"
TAKAPOUMPAFTAKAPOUM...
HIIIIIiiiiiiiiiiiiii....
" HELL ! Vais y mettre mon pied au cul à ce con de cheval !!! Tiens sale carne !..."
#PAF# HIIIIIiiiiiiîîîiîîîîîîîîîiiiiiiiiii... TAKACLOPTAKAcloptakaclop...
" C'est quoi ce bruit Marcel ???? "
"Rien, Séraphin ! j'ai viré le Fucking Canasson ! !! "
"Ah ouaip ? Ben dis donc ça fait presque le même bruit ! "
" Ah ouaip... pas con ça !!! écoutes Séraphin, plutôt que d' s'casser le cul a r'mettre ça, on dit aux Gogos qu'c'est fait esprès qu'pour copier l'bruit d'un canasson au Galop !!! et hop dans le c... la balayette !..."
" T'es trop fort Marcel !!! allez ouvre c'te bouteille , Blood'n'Guts ! on arrose ça !"
" On va voir les Filles au saloon ce soir ???, y a des hamburger et de la bière tiède !!"
" Hell! Naan, peux pas j'ai chopé la chtouille ...."
" avec une Fucking danseuse ?"
" Naan avec une des femmes de ménage ! elle venait de se faire un Fucking Bastard de Frenchie !"
" how Shit, BullShit !!! Le rascal !..."


Poursuivons donc avec son concurrent direct communément nommé BMW....
un jour au lendemain de la Guerre Karl Henrich Gherardt VON CHUCHENLAMBIK et Hans Klaus Rudy MEYER VON DERGROSSENCHOUKROUT, pilotes émérites de la LuftWafe au chomage technique pour cause d'armistice contemplaient le stock de moteurs de rechange d'aéronef, désormais inutiles, et se désolaient de voir ces bijoux de technologie teutone rouiller au fond d'un hangar , noyant leur désespoir et leur ennui à grand renfort de Schnaps !

- "Ach ! Gross Malheur gue la fin te la Guerre ! Hans ! "
"Ja Ja, Karl ! Gross Malheur ! Mais guesk on va Foutre té tous zes moteurs ??? "
" Ach ! Donnerwetter ! Ché né zais pas ! Interdiczion té faire des Bédit z'avion ! ach gross malheur ! viles-moi le Schnaps ! Danke ! "
" ACH ZO ! ch'ai eine Kolossale idée ! zi on vabriquait des Motorad ! On fa abbeler za afec nos initiales ! "
" Ach t'es Kon Hans ! za fait HKRMVDKHGVC !!! On fa ze faire Ghier à ékrir tout za !!!! ach Krott la Pouteille est fide, Karl..."
" Ach Ja ! tiens ouffres zelle-là ! "
" WUNDERBAR ! ch'ai trouffé "
" La pouteille ??? "
" Nein P'it Zidiot ! le nom !!!! Béhèèèèhhmmmww... "
"Ach z'est un choli nom BMW ! "
" KOfKof RaHAAAhaaa... Z'est bas ça !!! Nein ch'ai afalé le Schnaps de trafers !..."
"Ach Dommache ! z'était ein choli nom !!! On le garde Karl ???"
" Ach zi tu feux ! mais z'a veux rien tire "
" Ach on z'en fout !!! Deutshe kalité ! za fera le reste !!! Tu verras ke dans 100 ans zes Gogos kontinuerons te s'enfoyer en l'air afec nos foutus moteurs d'afion au rebut !!!"
" Zher Gut ! Chénial ! Prosit !"
" Danke! Prosit ! on fa foir les butes ze soir ? "
" Nein ch'ai choppé une jaudebisse afec la gross bertha.... "
" Bertha ? ach Domache ! elle est Kanon bourtant... zi on beut plus la tirer.... "
" Arf ! T'es trop Kon toi ...!!!...."

Quant à l'Empire du Soleil Levant :

"Koneri de guêr!"
"L'Ônorabl YAMADA San veutil tson tsabre pour fêr Sépuku ? "
"Ohhh l'Ônarabl HONDA aret dedir dékoneri ! filmoi le Saké ! têt dekon !"
" Tsé kan mêm gro dézo nheur davoi rété batû pâr lérikin "
"Oî ! Tarêzon SUZUKI ! saféchié surtou keleur harlê sevan debien !"
" Oooh fépa lekon lêss moîdu Saké fisde chien débridé !!!"
" L'Ônorabl KAWAZAKI ati luneso lutsion ?"
ARGKoffRheueueu...
"arf merdy dékap ton Saké ! Ouaiben deman deplu tô à MITSUBISHI ! sé lui ki nouza foutu dedan avek sê zavion pouri ! "
" Tutsé skil tedi MITSUBISHI ! va niké tamer Fis de panda gâhleu !"
"Ô fépa la gueul ! jedé konai !"
"Ouhai ben avek seki rest demon nuzine jevé fêr dè Japcar ! fini les zavion ! daïeur vou lépé tétous avek vô Kamikazes alakon !
jvendré mè kaiss âdé Kéké pour drifté é jmefré plin detûne ! tchaô lébléro !"
"Kel foutu cara ketèr ce MITSUBISHI !"
"Apro pôde Kamikaze, jé unidé ! kom lérikin é léteton onaka fère dé békâne !"
" oué pakon, fil moi le Saké !mé cé kan mem dela mêrde not produk sion ! hé téshié tavi dé labou teil Fis de tortu nînja!"
"tien yen na unotr ! espès dar souye! pirke Joker !"
" bin on senfou de fêr débé kan demer de ! ivons kassé lagueul avan de lézuzé ! dévré kamikazes cé Gogos là ! on vapa sefèr chiélà bit !"
" oué pakon ! alé produk sion â grandéchel !"
"Pakon lekou dé JapCar à Mitsu ! jevé ptêt en ferkelk zune ossi ! patoî HONDA
"Bon sinon onva ô gheisha sessoir ?"
"Pa pourmoî jé cho pé unecho depis ladern i erfoi avek la petite TCHI KÂN..."
"tékon toi ! tapami dé kapot ? pi falai pâ levé la TCHI KÂN ! tété sur detefèr plon bé oupir chopé pahr lé keuf ! tépir ke ciber toa "



Là je dois vous avouer que le si peu que nous avons pu traduire avec messire Du Faou est édifiant ! Je laisserai d'ailleurs à Messire Denis le soin de vous narrer les véritables natures des montures Italiennes, anglo-saxones et autres vilainies sur deux roues !
La bonne journée mes Nobles compagnons, l'aube ne va point tarder, je regagne ma couche !

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.

Voici un petit conte en deux chapitres.
Le premier cette nuitée, le second demain.


Par le Cornick, je suis revenu compagnons nocturnes. Je n'en puis plus, à boire ! Nom d'un Nain ! ma gorge à soif de chaouchen ! Mon voyage a été long, mais son destin en valait labeur et saouffrance, ainsi que tueries massive de pleutre et incendies de tavernes.

Il y a quelques temps faouillant dans les entrailles de notre bibliothèque paoussiéreuse, je fit traouvaille de deux vieux grimoire. Le NightRiders Magica Codex, et un vieux recueil sur les Êtres Légendaires de notre contrée. Mon intérêt se porta sur la Légendaire Dame des Rêves. Créature dite capables de rendre un rêve réel, il y a un rêve que j'aimerai réaliser. De sacrifier taout ce que je suis j'étais prêt, prêt à taout paour le réaliser. Rassemblant quelques vieux sorts dans le NightRiders Magica Codex, tel que le sort de L'Exploration des Fondements du Joker, L'Ivresse du Maxsaoul.....de vieux rituel à la puissance dévastatrice. Après avoir rassembler quelques effets, je pris raoute vers l'Est, vers les montagnes glacées. Nom d'une Dame Blanche que la raoute fut longue et semé de drôlerie. Je pris départ peu avant l'aube. Dans les écuries, je retraouva mon gros bestiole à cornes, mon compagnons lors de long voyage rugueux. Attelé à mon chariot de fer, il était temps de prendre la raoute. Je fis à peine quelques lieues que le grincement métalliques de l'essieu rappela à moi un compagnon pas vu de longue date, Barv Gwen. Ce korrigan peu ordinaire aimait à voyager en ma compagnie, car le chariot lui rappelait celui de l'Ankou et également parce qu'il n'y avait point moment d'ennuis avec moi, au contraire il n'y avait que des ennuis.


Tranquillement naous suivîmes une paisible raoute forestière, la RD 56, véritable merdier d'ornière, de baoues et d'embuscades de lutins pillards raté. Barv Gwenn ne manqua point l'occasion de glisser une fine remarque :
_Je le savais, on ne s'ennuie jamais à voyager avec toi Faou....
En effet, un arbre en travers de la raoute naous empêcha d'aller plus avant. Et ce fût donc par pur coïncidence malchanceuse, fruit du hasard que naous fûmes pris dans une embuscade. Une horde de lutin se jeta sur naous. A cet je lança le bestiole au galop qui fort solide arracha l'arbre me barrant la raoute. En passant il écrasa quelques petits êtres, certains furent accrochés aux claous des raoues de la carriole. Trop occupé à rire, Barw Gwenn se contenta de fumer sa pipe et de laisser le bestiole aller aoù bon lui plaisait. Nom d'une Blanche, maudits soient taous ces faoutus lutins.....Une bonne vingtaine de ces marauds étaient accrochés à mon chariot, je n'eu guère le choix, je sorti la batte à claoues. Je lutta férocement face à ces terribles lutins, je fracassa le crâne du premier à grand caoup de battes à claoues. J'en saisis deux à la gorge que je balança dans les raoues claouté de la carriole. Je constata que certains lutins avaient abusé du rugby et de la caoupe du monde. Ils firent un fameux haka, le « kama te », avant de former une mêlée à XXV à l'arrière de la carriole et tentèrent en vain de me renverser. L'insatiabilité de la carriole fut en ma faveur. Il fallut que la chariotte raoula dans une ornière,les lutins déstabilisés , j'en profita paour les renversé. Les raoues claoutées emportèrent certains les écrasant violemment et les faisant voler au loin dans les arbres. Un champs de tripes de lutins venait de naître dans la carriole. Je profita d'un caourt instant et lança un terrible sort !!

Les Milles et Unes Pièces Détachées de T'ite'Caouille !!

Par le Cornick !! Nom d'une langue faourchue!! Une bien drôle de sphère naquit dans ma main, par prudence et surtaout par connaissance de l'auteur du sort, D'moiselle Tite'caouille, j'orientai cette drôlerie vers les lutins. Ce fut un vrai carnage, une véritable tempête de carter, pot d'échappements, radiateurs et autres joints de culasse frappèrent avec une force titanesque ces maudits lutins. Constatant taout les lutins morts, bien faits fallait pas me chercher, j'arrêtai aussitôt mon gros bestiole et ramassa taoutes les pièces détaché produites par le sort....mais taout ceci provient d'un SV650, bizarre, pas grave j'arriverai bien à arnaquer un pleutre et en tirer 5 pièce de bronze. Avec cette caourse diabolique, j'atteignis un petit village, Nogent le grostraou, bref je pénétrai......j'entrai, je vaoulais dire. Je réussi à vendre les pièces de SV paour 8 pièces à un vieux saoul dur en affaire.
« Te faous pas de moi, c'est rien que du SV paourri ton affaire » Diablerie, c'est si paourri que ça fuck-kiki.


La nuitée avancée, je décida d'aller boire à la taverne. Je bus tranquillement ma pinte de chaouchen, et profita de la traoupe de traoubadours. J'étais confortablement installé lorsque quelques manants m'abordèrent. Il s'agissait de la famille du vieux à qui j'avais vendu les pièce de SV, ces derniers exigeaient gardés les pièces mais que je les paye paour les garder. Damned, est ce vraiment si paourri que cela ? Point le temps de méditer sur le sujet, j'exprima mon mécontentement et dégusta une droite sévère... Je me releva si tôt, un peu à l'Aouest, batte à claoues à la main, fusil tromblon armé. Je commença par frappé, avec erreur la grande blonde de serveuse,par erreur mais c'était justifié, le chaouchen était dégueulasse. La serveuse dans les étoiles aou au cimetière, la clientèle privée de cervoise s'énerva rapidement, ce fut le caoup d'envoi une superbe bastonnade entre camarade de bière. J'esquiva maintes projectiles, chope de bière, tabouret, table, serveuse, vache, mémé, et enfonça les lignes adverses. Je fracassa le crâne d'un pleutre, puis un deuxième et un troisième....Un véritable carnage. Un vieillard en rigola à perdre ses dents. J'esquiva le revers d'un demi troll qui écrasa vieillard contre le mur, lui faisant perdre ses dernières dents et le reste de la tête vola par la fenêtre...Je tira une cartouche de fusil tromblon dans la tête du demi-troll qui explosa comme une citraouille. Dans la pagaille je tenta de dérober la caisse, ce que je réussi avec succès. Je lutta difficilement paour sortir, je décida donc d'utiliser un puissant rituel,

Le Barbecue Géant de Dom !!

Le sol s'aouvrit et des entrailles de la terres sortie un énorme barbecue crachant ses flammes dévastatrices. Je sauta par la fenêtre sans hésitation et m'éloigna de quelques pas. La taverne en flammes s'effondra éttaouffant quelques hurlements....Damned, les auberges incendiées, serais-je maudit ?
Le korrigan Barv Gwenn était à côté, fumant sa pipe et rigolant du spectacle, et taournant vers moi il me demanda ce que je faisait avec cette blonde?
Blonde ??
Aya ! Nom d'une Dame Blanche, Damned, Gast ar c'hast, Par le le Cornick et l'Ankaou la serveuse !! Je regarda la caisse d'or de l'auberge disparaître dans les entrailles flamboyantes du Barbecue Géant de Dom. Naous reprîmes la raoute à la paoursuite de mon rêve....A l'aube naous vîmes les montagnes.

Sur la raoute, il faut être très prudent. Si on ne fait pas attention aoù l'on mets les pieds, nul ne sait aoù elle peut naous mener.

Voici le second chapitre, suite et fin



Le spectacle était saisissant. Un soleil raougeoyant se levait, au loin les montagnes majestueuses se dressaient, la forêt aux caouleurs de l'automne à ses racines. C'est là que se traouvait la Dame des Rêves. En raoute !!

Sacré nom d'une Faucheuse, il fallait vraiment que ma quête vaille la peine d'affronter les montagnes et ses neiges par un temps si misérable, quel froid. Allez hop un chaouchen piqué à la cave du château, moyennant paiement à Sir Cibers, je lui donna un bon paour une nuitée avec Sir Mad qu'il accepta avec une joie non-dissimulé. J'avanca au cœur des montagnes et bien sûr pas une auberge paour boire une chope...Sur ma raoute se dressa un village en ruine fort peu accueillant, même pas une taverne paour accueillir le voyageur...
Ça sent le piège me dit Barv Gwenn.
Je posa ma pipe à l'arrière de la carriole, et en descendit, elle ne paourra allez plus avant. Je pris mon fusil, ma batte à claoues. J'envoya le korrigan conduire la carriole dans la vallée, et continua ma raoute seule. Le village était bien en ruine mais pas désert. C'était bien ma chance le korrigan venait partir et me voilà dans une embuscade au milieu d'une daouzaine de démon....
Des Ch'gro-Bolhos, monstres de bien 2m30 de haut 130kg, créature réputée paour sa grande capacité à baver plus qu'il n'est gros. Par l'Ankaou que je trépasse si je faiblis !! Je pris jambe à caou et fit demi-taour !!
Je dus bien au moins faire quelques deux mètres avant de me faire rattrapé par un être démoniaque. Je sus la bataille inévitable. Je sortis ma batte à claoues et fracassa le crâne du premier venu et d'un revers écrasa les parties intimes et très poilue d'un second. Je resta sans voix en voyant le rascale partir gémissant comme une fillette...Bref....Morte-Caaaaouuuuuilllllles !!! Je retaourna au combat. Je paoursuivi un de ces montres, tronc d'arbre à la main et grâce à une malencontreuse chute qui me fut grandement favorable, le démon tomba tête dans la neige, fessiers en l'air. Je chargea la pauvre bête et lui enfonça le sapin dans les fondements jusqu'à bien la moitié du tronc de 7 mètre de long. Dans la bataille un démon me taoucha laourdement, et du battre en retraite. Je me traouva en difficulté , mon bras porteur de la Sainte-Batte Claoues fut victime d'un molard devant bien peser 3,5kg. Je dégaina le fusil et tira dans le tas. La horde de démon chargeait, je n'eu point d'autre solution. Je du reculer, mais étant un rider du Côté Obscur de la Moto Ascendant Harley Pétoire, je ne paouvait abandonné. Composant les sceaux magiques et fis usage un terrible sort. J'attendis que les Ch'gros-Bolhos m'encerclent et frappa le sol invoquant

le terrible sort de la Bombonne de Gaz de Père Fanchnbont de la Paroisse St-Chauve.

Ce fut bref mais intense, une terrible et magnifique explosion dévasta la montagne. Beaucaoup de feu, beaucaoup de bruit, énormément de hurlements puis des flocs....Aaaaaaaaaaaah je respire, la nature est taout de suite plus moche après un telle explosion. Je continua ma raoute et aida un survivant en lui écrasant la Sainte-Batte dans le coin de la figure. Par le Cornu ça fait du bien. Ma raoute me mena vers des lieux magnifiques, les pics glacées aux cavernes de cristales. Mon chemin était beau, je senti la fin de mon voyage. Je traversa une caverne et décaouvri un lac égaré au milieu des montagnes, en sont milieu se tenait un îlot aoù paoussait une rose blanche. Des profondeurs du lac émergeait une femme, incroyablement belle. La Dame des Rêves. Marchant sur l'eau, elle avanca vers moi, je ne paouvais baouger. Elle posa sa main sur ma jaoue, après un instant de silence, mon regard plongé dans ses yeux d'un bleu abyssale, sa voix résonna dans ma tête. Je ne pu retenir de verser une larme. Elle me dit avec regret qu'elle ne paouvait réaliser mon rêve, que je devais le réaliser seul. Puis elle s'en alla, avec élégance, elle disparut dans les profondeurs du lac. Je resta seul en silence un moment et prit avec tristesse la raoute.

Je retraouva à naouveau au village en ruine aoù je tua quelques Ch'gros-Bolos. Je décaouvris sans surprise une naouvelle horde d'une trentaine de démons baveurs. Nom d'un Nain, voilà l'occasion rêvé de saoulager ma peine et ma déception. Saisissant ma batte claoues je chargea sans crainte. Je commenca par grimper sur un de ces monstres poilus et à tester sa résistance crânienne face à la Sainte Batte. Il ne me fallut quelques caoup paour briser son crâne, je pris soins de retirer quelques morceaux de cervelle et reprit le combat. Je dégaina le fusil à tromblon et tira dans taout les sens possible et imaginable. Des têtes éclatèrent, des membres volèrent, et dans cette baoucherie, je profita paour lancé un sort qui m'est complètement inconnu.

Par le Conick, j'invoqua L'Exploration des Fondements du Joker.

Un daouzaine de Joker apparurent un peu à droite à gauche, caourant après les Ch'Gros-Bolos, Damned Gast que font-ils avec ces démons ???
J'en vis au moins deux Joker fessars à l'air, un autre armé d'un pied biche nommé Patricia, qu'il mit avec virilité dans les fondements du démons.....Cette pagaille me laissa le temps d'invoquer un dernier sort, classé dangereux dans NigthRiders Magica Codex.

La Solution Chimique Finale d'Alizée, faourni avec son mode d'emploi.

Au diable le mode d'emploi je saisi la fiole caouleur verte fluo et la brisa au sol. Une immense explosion se déclencha, ravageant taout sur son passage. Je me rendi compte des dégâts lorsque je me traouva seul, dans un cratère, les montagnes avaient disparu... Par le Cornick et dire qu'il existe des sorts Extrêmement Dangereux dans le NightRider Magica Codex...Je retraouva ma carriole et ce korrigan de Barv Gwenn
Alors ? Qu'il me demanda...

Tu ne connais pas une auberge dans le coin ?

Bonsoir à vous messires night rider... Profitant d'une halte à la taverne de soeur Meumeuh, je viens promptement me présenté à vous accompagné de mon fidèle compagnon bb_motard, nous sommes actuellement en train de vaguer sur les sombres chemins du comté de Quintin sur nos fidèles destriers (SUZUKI et oui ;-) ) à la poursuite de malfaisants petits trolls en espérant nettoyer ce comté et par de même chasser ces êtres maléfiques loin de nos terres bretonnes... J'espère que cela vous rendra service dans vos contrées voisines de la notre...
Par ailleurs, auriez vous l'amabilité de nous recevoir dans votre humble château la nuit prochaine? Car nous passons près de votre territoire et ne savons point ou dormir en sécurité loin de ses bestioles sataniques... Ensuite si cela est possible pour vous, nous pourrions partir ensemble chasser ces êtres hostiles et rassurer la populace, qui tapis dans leur maison ne cesse de craindre d'avoir une facheuse visite. En leur rendant visite et en leur offrant quelques présents, nous leur montrerons que nous ne les oublions pas et qu'ils peuvent compter sur nous pour les protégé eux ainsi que leur jeunes progéniture.
En espérant avoir une réponse positive de votre part pour le gite et la chasse aux trolls.

Très respectueusement Chino Fou.

Bien le bonsoir chers amis,

Bien des lunes sont passées depuis ma dernière visite dans ce chateau que j'aime tant. Messire Kenavoile, sortez don' ces quelques bouteilles dont je vous ait confié la garde. Vous seul êtes capable de résister à son appel en temps de trèves de riboulailles!! Deux vagabonds du nord de notre Bretagne chérie vient nous quémander l'hospitalité pour le jour de la fête de l'équinoxe. La route faites par nos deux joyeux lurons (troubardous je cite!!!) est si longue que le gîte et le couvert en devient nécessaire. Messire Chinal, et Sieur Motard jeunot, en mon nom et ceux des habitants de ce toit, il est évident que vous êtes les bienvenus en notre foyer.
Cependant, Deux, trois, 400 conditions seront de rigueur. J'y réfléchirai en attendant le lever du soleil mais ramenez-nous d'ores et déjà quelques fûts afin de noyer notre solitude, notre chagrin ou juste pour fêter votre arrivée. En espérant que vos nobles destriers supporteront le voyage. Que leur chausses arrivent en bonne santé...




Que la nuit nous rende tels que réellement nous sommes....


Dame Lili